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Dès samedi 18 janvier, au soir, ils étaient des centaines à investir la capitale, jusqu’à la place de la République, du nom de celle qui a remplacé l’Ancien Régime. Les jeunes royalistes venaient commémorer leur roi martyr, guillotiné le 21 janvier 1793.
« Gloire, honneur au roi Louis XVI ! »
Le lendemain, accompagnés de Louis de Bourbon, ils se sont rendus dans la Chapelle expiatoire pour une messe. Cette église, consacrée aux victimes de la Révolution, est placée à l’endroit même où a été inhumé Louis XVI.
« À travers Louis, c’est tous les Français qui ont servi la France et la royauté que nous honorons. Si vous êtes ici ce soir dans le froid et la nuit, c’est que nous avons tous ce feu intérieur qui brûle en nous. Mais il ne faut pas que ce feu s’éteigne, il faut qu’il se propage, il faut que tous les Français comprennent que la république ne peut rien leur apporter, à part la division et la chute de la nation française.
Nous montrons l’alternative, soyons fiers des mille ans de monarchie qui ont fait la France. Soyons fiers, chers camarades, car nous sommes dépositaires de l’héritage de Louis. Soyons fiers, car nous sommes la jeunesse de demain qui reconstruira notre pays. Alors humblement, dans le tréfond de nos cœurs, que résonne à jamais cet hommage millénaire que nous devons à nos rois, et prononçons avec une grande révérence : pour que vive la France, vive le Roi ! »
Le testament du Roi lu par Cassandre
Le chœur Montjoie Saint-Denis
Comme le dit le jeune orateur, la France sous le joug républicain est effectivement divisée, mieux, en lambeaux. Affaiblie, elle est pillée de toutes parts par toutes les puissances actuelles qui ne sont plus des pays, comme à la fin du XIXe siècle, mais des entités : mondialistes, Big Pharma, lobbies, Union européenne, multinationales, Empire.
Les Français, dans leur grande majorité, ne voient pas le rapport entre la division et l’effondrement. Pourtant, il est là, mais les raisons politiques profondes leur échappent. Les forces occultes ont lézardé la France, pour mieux la dominer et la vendre. Il faudra un sacré sursaut de conscience et de courage pour remonter. Le constat des jeunes royalistes est juste.
"ils ne posséderont rien" ;