Je sais que je vais en faire hurler plus d’un ici.... et pourtant le message bien compris d’Alain Soral dit exactement la même chose.
Il y a un distinguo hyper important à faire.
Entre, d’une part, les créateurs de richesses qui rendent un vrai service, raison pour laquelle nous leur donnons notre argent en échange de leurs produits (ou solutions à nos problèmes), autrement dit le capitalisme créateur d’emplois, de richesses et surtout de valeur. En deux mots : Le capitalisme industriel et inventif.
Et, d’autre part, le capitalisme usurier, parasite et prédateur autrement dit bancaire ou "boursier" - (même si la raison d’être de la bourse était louable à la base : financer l’industrie) - c’est à dire manipulateur des données chiffrées et abstraites. En deux mots : Le "capitalisme" financier. Celui de Wall Street, de la FED ou... de la maffia russe.
Quand un capitaine d’industrie crée de la richesse, de la valeur, de l’emploi, des produits "innovants" qui nous facilitent la vie et qui en même temps "s’en met plein les poches", ne me dérange pas. Au contraire.
C’est comme pour Alain Soral. Moi je suis heureux de lui acheter ses livres qui me "rendent service", m’ouvrent l’esprit et remplissent un besoin "celui d’être moins bête, celui de voir le monde dans lequel je vis sous une autre lumière"... etc.
Lui en "parfait" capitaliste, producteur, il me rend service, remplit un besoin. Moi en tant que consommateur, je suis heureux de lui donner €20 pour un travail qui lui a pris des mois. Tout le monde est gagnant. J’achète un super produit pour pas cher. Lui espère par la qualité de son travail être payé de retour en vendant autant de livres que possible. (Effet de levier). Ce "capitalisme" là ne me gène pas.
Je vous ferai remarquer de E&R n’est pas un "établissement public", ne reçoit aucune subvention et vit grâce à la loi de l’offre et de la demande "capitaliste". Et comme leur offre est pertinente, intéressante et "sexy" alors nous sommes heureux de nous laisser tenter.
Que des gens comme Alain Soral deviennent des multi milliardaires, ne me gène pas du tout. Ils créent de la richesse.
Mais que l’homme le plus riche du monde, jamais cité, s’appelle Rothschild - (là on parle de 5.000 Milliards de dollars, les 50 "minables" milliards dollars de Bill Gates "c’est de la petite bière" comme dirait Goldnadel)- car imprimeur de papier Q dollar, c’est ça qui me choque.
Et le Rothschild, le plus riche, veut aussi être le plus puissant. NWO. Big PB !!
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