Si toutes les victimes des pédocriminels et autres agresseurs sexuels portaient plainte, la Justice exploserait sous le poids des dossiers, certaines personnalités cumulant un nombre d’agressions (pas à leurs yeux, évidemment) inimaginable.
Dans l’après Mai 68, l’écrivain et pédocriminel assumé – on disait pédéraste à l’époque – Tony Duvert, dont nous nous sommes procuré un ouvrage, a déclaré avoir initié environ 3000 garçons, et quand il parle de garçons, il s’agit de 8-14 ans. Loué pour ses qualités littéraires, l’écrivain pédophile trop voyant a fini par être isolé du reste de la société.
On sait que le mouvement gay, devenu aujourd’hui le lobby LGBT, a longtemps conservé en son sein les amateurs d’enfants – ou plutôt les violeurs d’enfants – pour qui la sexualité devait être ouverte à tous les âges.
Dans les années 70-80, notamment dans le journal Libération qui était la matrice et la vitrine du mouvement sexuel progressiste, des débats ont eu lieu sur le sujet, et les homosexuels ont fini par écarter les pédophiles de leurs instances. Mais parfois, c’était pour mieux les cacher : on sait que certains pédophiles de haut vol se sont servis du mouvement politique dit gay pour faire avancer leurs revendications, qui sont toujours les mêmes, quels que soient les écrans utilisés : baiser des gosses.
Et malgré l’opprobre quasi général sur la pédophilie, ils ont réussi, grâce au progressisme culturo-sexuel qui a été la norme à gauche comme à droite (un peu moins à droite mais sans véritable résistance à « l’avancée » des mœurs). Cinquante ans après les manifs des homos et des travestis dans les rues de Paris ou New York, la PMA a été votée et la GPA ne va pas tarder à pointer son groin.
On pourra, comme le rêvaient des pédophiles célèbres, adopter des enfants et en faire ce qu’on veut, personne n’ayant le droit, à part les services sociaux (chez les pauvres), et encore, de pousser la porte des familles. Mais le système d’adoption d’enfants par des pédophiles existe depuis belle lurette, de gros pontes de la télé et de la politique l’ont fait, du Cambodge à la Tunisie.
Aujourd’hui, après la mort de Pierre Bergé, le grand argentier du mouvement gay français, même si sa « veuve » Madison Cox (c’est un homme), mouillé dans l’affaire Epstein, est encore en activité, un réseau semble se déliter. Gabriel Matzneff, soutenu par Christophe Girard, l’ex-adjoint à la Culture de la mairie de Paris, est isolé, et Christophe Girard lui-même, ancien secrétaire de Pierre Bergé, est visé par des accusations.
C’est étonnamment le New York Times, journal pourtant progressiste, donc féministe, sioniste et homosexualiste, qui a lancé l’attaque de l’autre côté de l’Atlantique. Le quotidien Ouest-France précise :
« L’ex-adjoint à la maire de Paris Christophe Girard, poussé à la démission pour ses liens avec l’écrivain controversé Gabriel Matzneff, est accusé d’abus sexuels par le New York Times, des allégations “graves” et “sans fondement” qu’il conteste “avec la plus grande fermeté”.
Son accusateur, Aniss Hmaïd, 46 ans, a affirmé au quotidien américain avoir été entraîné par Christophe Girard dès leur rencontre en Tunisie, quand il avait 15 ans, dans une relation abusive de près de dix ans qui lui a laissé “des blessures psychologiques durables”. »
L’avocate de Girard dispose de deux axes de défense :
« Les faits dénoncés étant prescrits, la parole de l’accusateur, contre la parole de l’accusé, est laissée à l’appréciation du tribunal de l’opinion, où trop souvent une présomption de culpabilité en matière d’infractions sexuelles a pris le pas sur la présomption d’innocence. »
On retrouve un lien avec Pierre Bergé et YSL, Girard ayant été le secrétaire général de la maison Yves Saint Laurent entre 1986 et 1987, ajoute Ouest-France :
« Selon Aniss Hmaïd, Christophe Girard a abusé sexuellement de lui quand il avait 16 ans et l’a contraint à des rapports sexuels une vingtaine de fois au cours des années suivantes, ajoute le quotidien.
En échange, poursuit l’article, Aniss Hmaïd assure que Christophe Girard l’employait parfois comme domestique dans sa résidence d’été dans le sud de la France et “lui obtenait des emplois temporaires au sein de la maison Yves Saint Laurent” dont il était l’un des principaux dirigeants avant d’entrer en politique. »
Dans cette affaire, qui semble très réseautaire, c’est le progressisme écolo-féministe qui a fait tomber un progressiste gay, comme si les différents tentacules du mondialisme étaient en train de se faire la guerre.
- Weinstein du temps de ses succès féminins
On l’a vu avec les féministes de Hollywood qui ont eu la peau du prédateur Harvey The Pig, qui représentait pourtant le pouvoir sioniste absolu à Hollywood, ou avec les féministes parisiennes politiquement coincées par les agressions sexuelles des migrants : elles étaient partagées entre leur féminisme et leur antiracisme, qui sont naturellement entrés en conflit.
Le mondialisme, qui promeut le féminisme, l’homosexualisme, l’immigrationnisme, le sionisme, l’individualisme et l’antiracisme, toutes ces tendances qui ne sont globalement pas naturelles aux peuples, est en train de perdre de sa force. Il est même entré dans une phase de déclin, ce qui signifie peut-être un réveil des peuples.
Bergé, Cox, Epstein, Maxwell, Clinton, Gates, un réseau de puissants (gays ou pas gays) est en train d’apparaître aux yeux du monde. Et quand un réseau est touché par la lumière, il perd une partie de sa puissance. Ou de sa nuisance.
NB : précisions que Christophe Girard n’était plus lié à Pierre Bergé ou à Madison Cox lorsque l’affaire Epstein a éclaté.