LA MORT EN BLOUSE BLANCHE.
A l’instar de la campagne insidieuse pour la liberté d’avorter, nous assistons à la même méthode d’un lent processus de "démocratisation" du débat d’idée sur l’avortement. Une banalisation rampante , sournoise qui consiste à faire sauter tous les verrous des sujets tabous de la société traditionnelle. Une légalisation du meurtre qui ne dit pas son nom.
Une manière de faire que les enfants de la Révolution luciférienne tel ce Barbier et bien d’autres serviteurs du Mal, iront plaider avec une ardent désir de servir leurs maitres à penser qui frise le fanatisme.
L’impact sur les esprits de cette funeste entreprise fera que, de plus en plus de malades ne voudront plus se rendre dans les hôpitaux car la CONFIANCE et le RESPECT dus au médecin soignant n’y sont tout simplement plus de mise ! Ceux qui se résignent par nécessité à le faire, le feront avec la sérénité en moins et la suspicion en plus.
Le corps médical est en partie responsable de ce grand malheur, de cette grande rupture spirituelle car, il faillit à sa mission première en laissant faire ou en adhérant pleinement à l’émergence d’une " supracivilisation qui a poussé sur les valeurs occidentales mais qui les annihile en les parasitant. Cette superstructure fonctionne en circuit fermé comme une caste, de manière arbitraire et dirigiste, tout en rassurant le public par la propagande et la desinformation. Régnant par l’idéologie des droits de l’homme, elle tient ces droits pour quantité négligeable et n’obeit qu’aux lois du profit et de la domination. Détruisant des sociétés entières par la perfidie, la corruption et l’élimination de tous ceux qui résistent ". (1)
(1) Livre à lire : La grande rupture - Sociologie d’un monde bouleversé - Où va le nouvel ordre mondial ? Par Alexandre Zinoviev - Editions Objections- L’âge d’homme - Lausanne - Suisse.
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