Des réponses au scalpel, des rappels pertinents, un réquisitoire sans failles, le Pr Raoult n’est pas seulement au top professionnellement, il l’est aussi sur le plan de la dialectique.
Le Redemsivir ? Choix totalement incompréhensible - "sauf à avoir une compréhension qui est toxique"...
L’Etude Discovery et le Redemsivir ? "On savait depuis plus d’un mois que ça ne marche pas"...
La chloroquine ? ".../... Il restait soit rien, soit la chloroquine.../... Il y a eu une telle violence autour de cette chloroquine qui laisse un besoin d’une analyse, peut-être extrêmement poussée parce que les gens sont pas contents.../...".
Durand : "Cette violence, cette hystérie, je ne dis pas que vous y avez participé, mais.../..."
Pr Raoult : ".../... La nature du journaliste, c’est pas d’oublier ce qui s’est dit la veille".../..."
Petit rappel pour Durand : menaces graves avec dépôt de plainte, accusations de collusion avec les labos, de propagation de fake news par les Site du Monde et du Ministère.
".../...Je me souviens de tout ça, je sais très bien ce qui se passe, et je n’ai pas fini d’en parler.../...
Vous devriez plutôt vous poser la question de savoir pourquoi la France a été/est incapable d’organiser un nombre de tests qui soit comparable à ceux de n’importe quel pays développé.
C’est une vraie question.
Une vraie question d’incapacité, qui est l’abandon de la partie de la guerre.
La meilleure analogie que j’ai, c’est celle-là. Et je trouve que l’analogie est particulièrement bien trouvée."
L’estocade finale !
Pour Durand, qui l’a bien cherché - "Je ne dis pas que...", mais il le dit quand même.
Pour Macron et son "Nous sommes en guerre !", à seule fin de dissimuler son incurie délétère, que le Pr Raoult dénonce ici, et dont il est permis de penser qu’il ne s’en tiendra pas là.
G.Durand, et les fake news :
En 88, il a "des assurances selon lesquelles Pauline Laffont est vivante’’ /elle était déjà morte.
En 89, il annonce 4.630 corps en "bilan tristement officiel" pour le "charnier" de Timisoara / 689 morts sur l’ensemble de la Roumanie.
On apprendra qu’il ne s’était même pas rendu sur place, et pourtant, 3 mois après son imposture il ose : "Le bilan est satisfaisant professionnellement. Si les éditorialistes assis dans leurs fauteuils cherchent la bagarre, ils vont l’avoir."
Monsieur doit avoir des relations, pour être encore là, mais cette fois-ci, seulement dans un fauteuil...
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