Les documents officiellement déclassifiés par Trump sont en fait tous connus et publiés, quoique officieusement. Par exemple des rapports de la CIA classés comme probables selon lesquels Adolf Hitler aurait fini sa vie incognito dans une propriété bien gardée en Argentine jusque vers 1973, tout en consentant à être utilisé par les services secrets américains pour leur recommander ses meilleurs subordonnés en espionnage ou en matière scientifique, bien que la CIA considère dans ses propres rapports l’identité de ce nazi comme probable mais non certaine à 100%. Trump n’a pas dévoilé grand chose de vraiment inconnu ou non prouvé jusqu’ici et de toute façon dévoiler un document ne cause en soi aucun brouhaha si les médias de masse ne prêtent pas leur mégaphone ou si un procès célèbre n’est pas en cours à leur sujet. Trump n’a rien fait de prodigieux à cet égard surtout que les auteurs de ces documents révélés, souvent des agents secrets, ne sont pas plus vérédiques que des romanciers de la revue Planète.
Les élections américaines depuis les toutes premières origines sont toutes entachées de fraudes assez flagrantes, comme par exemple l’élection de Floride en 2000 qui se traduisit par la victoire de Bush, par rapport aux normes de presque partout ailleurs. La seule question à se poser dans ce cas c’est si la fraude a agi à l’encontre du suffrage populaire, comme ce fut le cas avec Kennedy en 1960, ou plutôt a contribué à le manifester mieux, à l’encontre du byzantinisme du processus électoral américain. Or il est clair d’après toutes les études d’opinion que Trump qui avait gagné avec 3 millions de votes populaires en moins que son adversaire allait en perdre davantage (8-9) cette fois-ci à cause précisément des déceptions d’un nombre croissant de partisans remarquant que ses promesses à son électorat n’étaient pas sérieuses et typiques d’un joueur de double jeu. Trump vient de montrer par plusieurs indices qui ne trompent pas, comme les grâces accordées aux crapules de la Blackwater mais pas à Assange, qu’il méprise son propre électorat et qu’il est un confrère de classe de l’oligarchie qui a consenti à faire le clown pour elle pour mieux faire gagner le mondialisme et aussi pour pousser à la fracturation et à la chute des USA, proche étape importante sans laquelle pas de NWO ayant pour capitale Jérusalem.
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