« “Moi je fais la guerre le matin, le midi, le soir et la nuit. Et j’attends de tous le même engagement. Or là, ça ne va pas […]. Ça doit changer vite et fort et ça va changer vite et fort”, a martelé le président de la République lors d’échanges téléphoniques avec des interlocuteurs de tous horizons cités par Le Journal du dimanche. » (Sputnik)
Au moment où le petit dictateur fou (de théâtre, c’est son père qui le dit) menace de frapper « vite et fort » pour accélérer le rythme des vaccinations, on apprend que les restaurants, fermés par intermittence depuis plusieurs mois, ne rouvriront probablement pas le 20 janvier. La faute aux contaminations dues au relâchement de la période de Noël, selon les habituels menteurs – le terme officiel est communicants – de la confrérie au pouvoir.
La santé est devenue le prétexte pour frapper les Français
Le prétexte ? « 7500 contaminations » en une semaine, selon le ministre des PME à l’agonie, ce qui ne veut même pas dire 7500 malades et encore moins 7500 personnes envoyées en réanimation. D’ailleurs, à ce propos, plus personne ne parle de saturation des services de réa, la « com » a changé d’âne, maintenant on vise la vaccination massive, on oublie les hôpitaux et leurs ennuis quotidiens...
Mais il faudra plus que des mots et des mensonges pour faire grimper exponentiellement le nombre de Français vaccinés car même du côté des soignants, ça rechigne. En cause, pas forcément la méfiance à l’encontre du trop rapide vaccin Pfizer, mais la rancune envers un gouvernement qui, malgré la tension du printemps 2020, a trahi les promesses qui faisaient suite aux doléances de tout le corps médical.
C’est maintenant que les mensonges d’hier se payent cash : si le gouvernement, malgré la dictature de l’Ordre des médecins, n’arrive pas à faire plier les soignants, ce corps intermédiaire entre lui et les Français, alors on mettra 3000 ans (on a calculé) au rythme actuel pour vacciner tous les Français. L’honnêteté oblige de plus en plus de médecins à sortir du bois et à dénoncer le chantage dont ils font l’objet.
Le gouvernement n’obtiendra rien par la menace et la répression, mais on ne change pas une équipe de fous qui se croit gagnante, malgré son score déplorable. Les médias, complètement à la ramasse, font ce qu’ils peuvent pour appuyer la propagande, mais tout se retourne contre eux. Voyez cette « une » grotesque du Parisien, qui tente d’instiller la psychose chez les jeunes, juste après la fête des 2500 près de Rennes. Des ficelles grosses comme des cordages...
Et qui vient en pages intérieures mettre la pression sur les familles en menaçant les enfants ? Le président en personne du Conseil national de la pédiatrie ! Et on s’étonne que ce secteur professionnel s’effondre en France...
France Info, l’organe numérique de la propagande gouvernementale avec les grands labos derrière, a réussi à trouver deux clampins qui réclament le vaccin :
« Pour Marie, une Parisienne interrogée par franceinfo, la vaccination est le seul moyen de sortir d’une crise sanitaire comme celle du Covid-19 : "La vaccination a fait ses preuves sur pas mal de maladies graves. Si on ne se vaccine pas tous, on n’arrivera jamais à atteindre une immunité et à endiguer le virus, l’épidémie."
Même position pour Cheral, qui rappelle que comme pour tout vaccin, avant d’être approuvé, le bénéfice apporté par l’efficacité du vaccin Pfizer-BioNTech a été jugé supérieur aux risques liés à ses effets secondaires : "Je suis confiant. C’est vrai qu’on n’a pas beaucoup de recul sur ce vaccin, mais on a suffisamment de recul pour savoir que le Covid ce n’est pas bien !" »
Il s’agit maintenant d’en trouver trois ou quatre dizaines de millions d’autres, et le braquage sera réussi. Quant aux restaurateurs, qui en 2018 et 2019 pleuraient parce qu’ils étaient obligés de fermer dans le centre des grandes villes leurs établissements à cause des manifestations des Gilets jaunes, les voilà giletsjaunisés à leur tour.
La solidarité entre les victimes de l’oligarchie est aujourd’hui un devoir national. Et social.
Restaurateurs : des fermetures le samedi en 2019
à la fermeture quotidienne en 2020
« Nous avions remonté la pente en janvier, mais là on va la redescendre », a déclaré Évelyne Maes, coprésidente pour l’Île-de-France de l’Umih, principal syndicat patronal dans l’hôtellerie, la restauration, les bars, cafés et brasseries. [...]
Si la chute des réservations devra être observée « dans les trois mois qui viennent », pour l’activité des restaurants l’impact est d’ores et déjà « dramatique », selon Évelyne Maes.
« La clientèle parisienne et de banlieue ne vient déjà plus le samedi soir, et beaucoup de restaurants n’ont même pas pu ouvrir samedi dernier » après les violences commises en marge de l’ « acte 18 » des Gilets jaunes, dit-elle.
Et dans l’hôtellerie, ces dernières semaines l’activité avait déjà baissé « de 5 à 30 %, selon les endroits et les catégories d’établissements », en raison des manifestations.
« Notre grande crainte est l’impact que cela aura au printemps, lorsque les gens font leurs réservations pour les ponts du mois de mai et l’été », affirme Évelyne Maes. (Ouest France, 18 mars 2019)
Le chef Thierry Marx croit au vaccin :
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