CO2, effet de serre, niveau de la mer, banquises, glaciers, calottes glaciaires, vapeur d’eau, nuages, rayonnement solaire, spectre de l’infrarouge lointain, bilan radiatif, fenêtres atmosphérique, opacité thermique, pics d’absorption, rayonnement cosmique, paramètres de Milankovitch, "consensus" scientifique..., bref il ne manque pas de détails parmi lesquels il est difficile de se retrouver et qui multiplient débats et différends.
Il convient donc de déterminer le cœur nucléaire du sujet.
Puisqu’il s’agit d’augmentation supposée de température cela est relatif à de l’énergie thermique, donc au bilan énergétique de la Terre.
Avez-vous remarqué que l’IPCC (GIEC) ne parle que de température (T) et jamais de pression atmosphérique (P) ? Pourtant pression et température sont intimement liées par la loi de Gay-Lussac (le rapport numérique entre pression et température est constant).
Outre le rayonnement électromagnétique solaire infrarouge sur lequel tout le monde est d’accord, le bilan énergétique de la Terre fait intervenir une autre source d’énergie.
Pour les réchauffistes c’est l’effet de serre (non-sens des lois de la thermodynamique et invalidé dès 1909 puis plus récemment entre 2016 et 2017).
Pour les climato-réalistes la source d’énergie est la force de gravité qui agit sur la masse des particules troposphériques (poids de l’air, compression gravitationnelle) et qui est à l’origine de la pression atmosphérique.
D’ailleurs avec la formule thermodynamique du gradient thermique adiabatique il est facile de retrouver les 15°C de l’atmosphère normalisée que réchauffistes utilisent fallacieusement pour démontrer l’existence de leur "effet de serre" :
Pour une couche de troposphère d’environ 5 km (de la surface au top),
avec Tsurf= Ttop (Psurf/Ptop) r/(Cp+ Cpi) où r/(Cp+ Cpi) est un exposant.
Après application numérique on trouve 14,88°C, et hop !
(pas assez de place pour les détails des calculs)
...sans oublier le fait que le CO2 c’est la vie !
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