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BrigitteGate : pour 20 Minutes, c’est parce que "les femmes de pouvoir dérangent"

Le BrigitteGate n’en finit plus de faire des victimes dans le domaine de l’information. Dernier titre en date à se ridiculiser, le torchon gratuit 20 Minutes, qui parle de « fake news » sans avoir jamais enquêté sur le sujet. Quand on sait pas, on la boucle, c’est la moindre des choses.

 

Mais il y a mieux, dans cet article datant du 13 mars 2024 : on ne parle plus seulement de « transphobie » ou de « sexisme » (alors qu’aucune accusation n’est portée contre Brigitte Macron, vous noterez), les deux axes avancés par l’Élysée qui donne toutes ses consignes à la presse-chienne, mais de ça : « Les femmes au pouvoir dérangent » !

Ça évite d’invoquer la transphobie, qui se retourne automatiquement contre son auteur. Les prétendues attaques contre Brigitte feraient donc partie d’une attaque globale contre les femmes de pouvoir. Mais de quel pouvoir parle-t-on ? Brigitte n’en a, officiellement, aucun. Or, on sait tous qu’elle est la grande manageuse du Château, et que même Manu lui obéit, en bon petit garçon. Parfois, il fait et dit des bêtises, mais c’est parce qu’il est tout seul et que Maman n’est pas là.

En réalité, en écrivant que Brigitte est une femme de pouvoir, 20 Minutes commet un énorme non-sens et une faute à la fois politique et médiatique. La Première dame, toute première qu’elle est, n’a aucun pouvoir, sauf celui que les médias lui prêtent (voir la légende de Paris Match). Et celui, bien sûr, beaucoup plus réel, qu’elle a sur son mari, dans l’intimité.

La presse qui relaye aveuglément les fake news oligarchiques va avoir du fil à retordre ces prochains temps : acculée au mur du mensonge par un Château qui dicte ses consignes, elle va se retrouver dans une impasse qui rappelle les campagnes vaccinolâtres des années 2021-2022.

En France, la digue de la censure commence à crever de partout. Aux États-Unis, on n’a pas ces pudeurs : la parole est libre. Du coup, Candace remet ça :

 

 

Est-ce à cause du BrigitteGate que Macron botte en touche en Russie en permanence, et entraîne ses ministres dans des escalades verbales ? Là encore, comme la presse mainstream, les ministres se ridiculisent.

 

 

Après Attal qui chante du BHL et Hayer qui crie à « 1938 », au tour de Runacher de délirer :

 

 

Dans le genre ridicule, il y a plus fort encore : ceux qui en sont encore à ce Jean-Michel Trogneux :

 

 

Pour ceux-là, on ne peut plus rien faire.

Les Amerloques sortent la grosse artillerie

 






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