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Braquage du Louvre : Rachida a-t-elle un alibi ?

Cette question perfide peut nous entraîner un peu loin, avec Nunez, on ne sait jamais. À la charge de notre très sémillante ministre de la Culture, un goût prononcé pour les parures et les bijoux : c’est une vraie paonne !

« Il y a eu sur la fenêtre qui a été ouverte par les cambrioleurs un signalement de dysfonctionnement il y a 1 mois. L’alarme ne sonnait pas avec cette fenêtre. »(BFMTV)

 

France pillage

 

 

Maintenant, le problème qui se pose est celui du sérieux de la sécurité, non seulement du Louvre, mais plus généralement de la France. La France est un gruyère, et un panier percé, donc un gruyère dans un panier percé. Se servent à pleines poignées, à des degrés divers, les migrants et les élites. Songez que chaque jour, l’État, c’est-à-dire vous et moi, paye 52 000 nuits d’hôtel aux migrants en situation pas très régulière. Dans le tas, il y a sûrement des OQTF, et dans les OQTF, quelques assassins en puissance. Oui, mais ils n’assassinent pas les élites, qui sont bien protégées, elles : ils ne tuent que des Français d’en bas.

 

 

Cela nous coûte un bon milliard par an (c’est déjà ça que les Ukrainiens n’auront pas). Là-dessus, les Yvelines sont en émoi car l’État, là encore, prévoit de leur greffer 1 000 migrants mineurs dans des centres en construction au printemps 2026. Mille pseudo-mineurs, à l’africaine, quoi. Ils auraient tort de se gêner, puisque c’est open bar. Même la population de Trappes (Jamelville) est en émoi, car des migrants mineurs, ça veut dire pas mal de galères en perspective. Il y en a qui voient déjà le prix de leur baraque dégringoler. On commence par en mettre cent, et on va vers mille, c’est la technique de nos dirigeants... Demain, ça sera dix mille.

Une dizaine de centres censés accueillir environ 800 mineurs isolés devrait ainsi, prochainement, voir le jour dans les Yvelines. Si le chef de l’exécutif départemental refuse de révéler lesquelles des 259 communes yvelinoises pourraient être ciblées, le sort de deux d’entre elles devrait être scellé dans quelques mois. Il s’agit de Chapet, où les négociations sont encore en cours, et de Mantes-la-Jolie, où le début des travaux est imminent. « Mettre ces jeunes dans le quartier du Val Fourré, c’est comme si on les installait sur la colline du crack, à la porte de la Chapelle », déplore le maire de Mantes-la-Jolie Raphaël Cognet (Horizons), qui a réuni près de 2000 signatures contre la construction de ce centre. Les habitants sont inquiets. Les maires, de leur côté, reconnaissent le besoin d’encadrer ces mineurs, mais dénoncent des décisions prises à la hussarde, dans la précipitation.

 

On sait tous que les ministres de l’Intérieur successifs mentent sur l’immigration, qui est forcée par le pouvoir profond. De Sarko à Retailleau en passant par Nunez, ils aboient, elle passe. Ils font les durs, mais ils écartent (les murs). Elle a deux objectifs, parallèles : d’une part déglinguer la France éternelle, ce caillou dans la botte des mondialistes ; d’autre part, faire baisser le coût du travail. C’est le Capital international – ou l’Internationale du Capital – qui décide, au fond. L’incarnation de ce capital nomade, transnational, c’est Attali. Qui se vantait hier d’avoir mis Macron sur le trône, d’où il nous chie dessus.

Et on en revient aux bijoux de la Castafiore, à la fausse sécurité ou à l’insécurité forcée d’un pays troué par les forces occultes, qui rongent nos frontières au service du grand Capital – brrr, tous ces concepts des années 30 qui reviennent en force –, et le monde entier qui se fout de notre gueule. Alors qu’on n’avait pas besoin de ça, avec le cirque au Château avec Brigitte, à Matignon avec Lecornu 1 et 2, et à l’Assemblée avec les petits calculs qui énervent prodigieusement les Français dans la mouise.

Là-dessus, on apprend qu’un vol d’or a eu lieu au petit musée des pierres de l’université de Jussieu.

 

 

Comprenez que la France est un vaste supermarché, où les migrants et les élites ont le droit de se servir et de passer sans payer. La note est refilée aux classes laborieuses, qui payent non seulement pour ce qu’elles ont pris, mais aussi pour les parasites d’en haut et d’en bas.

Et à part ça on ne va pas vers une révolution.

Ah, une dernière pour la route, qui nous rappelle les trois grâsses en charge de la sécurité incendie dans le comté de Los Angeles...

 

 

Encore une victoire du féminisme !

 

Les cousines amerloques de la Buffin

 






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1 Commentaire

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  • #3569634
    Le 20 octobre à 21:09 par ANONYME
    Braquage du Louvre : Rachida a-t-elle un alibi ?

    « Une femme au poste le plus stratégique du musée le plus visité du monde ! »



    Dominique Buffin est entrée dans l’administration publique d’État en tant qu’officier de police en 2001. 

    Après un passage par les services de renseignements, elle rejoint en 2007 la direction centrale de la Police judiciaire, où elle exerce d’abord dans un groupe d’enquête de l’office central de Lutte contre le crime organisé, puis à l’office central de Lutte contre le trafic de biens culturels (OCBC).

    En 2013, elle est mise à disposition du ministère de la Culture, où elle sera conseillère pour la sûreté des musées de France pendant quatre ans, auprès de la direction générale des Patrimoines.

    En juin 2017, elle est nommée haute fonctionnaire de défense et de sécurité adjointe au ministère de la Culture, où elle travaille notamment à la formalisation et à l’amélioration du dispositif de gestion de crise du ministère, et à la formation des fonctionnaires concernés

    Au musée du Louvre, elle a d’abord été nommée directrice déléguée en mars 2024, six mois plus tard, elle devenait directrice de la Direction de l’accueil du public et de la surveillance. 

    Ses missions : gérer l’accueil, la sécurité et la délivrance des titres d’entrées pour le public ainsi qu’assurer la sûreté des collections nationales. 

    Elle supervise près de 950 agents et son périmètre d’action couvre le musée du Louvre, les jardins du Carrousel et des Tuileries. 

     

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