Les États-Unis ont soutenu le coup d’État militaire de droite contre le président socialiste démocratiquement élu de Bolivie, Evo Morales, le premier dirigeant autochtone du pays, qui venait d’être réélu avec 600 000 voix d’avance.
Des coups d’État violents parrainés par les USA ont pris pour cible chacun des dirigeants progressistes élus qui figurent sur cette photo.
L’opposition de droite violente, élitiste et riche, soutenue par les États-Unis, a renversé Evo de Bolivie après des coups d’État similaires contre le Vénézuélien Chávez (2002), le Hondurien Zelaya (2009), et une tentative manquée contre le Nicaraguayen Ortega (2018).
Tout dirigeant latino-américain de gauche indépendant est pris pour cible.
Evo Morales a été légitimement réélu en Bolivie. Une analyse statistique effectuée par des experts n’a révélé aucune irrégularité.
Il s’agissait d’un coup d’État militaire de droite soutenu par l’administration Trump, tout comme le coup d’État américain raté contre le Venezuela plus tôt cette année.
Les médias grand public ont colporté beaucoup de mensonges et de distorsions pour justifier le coup d’État de droite soutenu par les États-Unis en Bolivie.
La Cour suprême avait statué qu’Evo était autorisé à se présenter de nouveau à la présidence.
Il a été légitimement réélu. L’opposition renverse la démocratie elle-même.
La Cour bolivienne permet au président Morales de briguer un quatrième mandat. La Bolivie a connu une relative prospérité et un calme relatif sous Evo Morales, le premier président autochtone du pays. (Source : Al Jazeera)
Les dirigeants de l’opposition de droite bolivienne comme Luis Fernando Camacho, ont conspiré avec les dirigeants du coup d’État vénézuélien commandités par les États-Unis.
No vamos a parar hasta tener una democracia real ! Seguimos avanzando !
Vamos sumando apoyo... ahora lo hace Venezuela...Gracias a Dios.. hay esperanza !
Gracias Colombia !
Gracias Venezuela !
Gracias Brasil ! pic.twitter.com/v9TQ2Fi2Sa— Luis Fernando Camacho (@LuisFerCamachoV) 27 août 2019
« Nous n’allons pas nous arrêter tant que nous n’aurons pas une vraie démocratie ! Nous continuons d’aller de l’avant !
Nous additionnons régulièrement les soutiens… maintenant le Venezuela… Dieu merci… il y a de l’espoir !
Merci la Colombie ! Merci le Venezuela ! Merci le Brésil ! »
Ils font tous partie du même réseau d’élite de droite, soutenu par les États-Unis et parrainé par des capitalistes riches.
Ces photos montrent le dirigeant du coup d’État de droite bolivien Luis Fernando Camacho rencontrant l’un des dirigeants du coup d’État vénézuélien, Gustavo Tarre, en août dernier – 2 mois AVANT l’élection qu’Evo Morales a remportée.
Ce coup d’État était PLANIFIÉ. Et il vient de réussir, avec l’aide du gouvernement américain.
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