Drôle de bug à Birmingham, la cité symbole du boom industriel anglais depuis le milieu du XIXe siècle, devenue une ville à forte composante musulmane.
La bien-pensance mondialiste a essayé de fourrer l’arnaque LGBT dans la tête des enfants de familles immigrées, mais les mères ne l’ont pas entendu de cette oreille. Évidemment, il y en a qui vont crier à l’homophobie, mais c’est le principe pervers de la minorité LGBT : avancer derrière le bouclier de la lutte contre leur discrimination.
« Dès l’âge de 6 ans, les élèves se voyaient donnés cinq cours “No Outsiders” par an, durant lesquels ils pouvaient être amenés à lire des histoires évoquant des relations homosexuelles ou des modèles de familles alternatifs. “Nous ne sommes pas un tas de mères homophobes”, a justifié auprès du journal britannique Fatima Shah, qui a dispensé sa fille de 10 ans d’école vendredi dernier. “Nous estimons simplement que certaines de ces leçons sont inappropriées, certains thèmes discutés étant très adultes et complexes pour les enfants, qui en sortent confus”. »
Ce qui n’était pas prévu, c’est qu’une autre discrimination, celle des musulmans, allait pointer son nez. Et à ce jeu, qui est un jeu démographique, donc démocratique, les LGBT sont perdants.
La même chose est arrivée chez nous avec les JRE, les journées de retrait de l’école, suite aux délires de la théorie du genre fourrée dans la tête de nos écoliers.
« Éducation, pas endoctrinement ». Tel était la demande des nombreux parents d’élèves musulmans venus protester, contre les cours d’éducation contre l’homophobie donnés par la communauté éducative de Saltley, à Birmingham (Royaume-Uni), qui font polémique depuis plusieurs semaines déjà. Une opposition qui s’est traduite, vendredi 1er mars, par le boycott de ces cours LGBT par les parents d’élèves musulmans, qui ont dispensé environ 600 élèves d’école ce jour-là, rapporte The Guardian.
Des leçons « inappropriées »
Ceux-ci ont finalement fait céder la communauté éducative, qui a assuré dans une lettre à l’intention des parents d’élèves que les cours en question, intitulés « No Outsiders », c’est-à-dire « pas de laissés pour compte », ne seraient plus dispensés jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Les réclamants peuvent crier victoire, après qu’une pétition demandant l’abandon de ces leçons dans le cursus scolaire a récolté quelque 400 signatures. Si Andrew Moffat, l’instituteur à l’initiative de ces cours, est encore en lice pour être désigné meilleur professeur au monde, cela n’a pas empêché les parents d’élèves de désavouer son travail éducatif, exhortant le groupe scolaire de bien vouloir cesser de « promouvoir l’homosexualité et les modes de vie LGBT auprès des enfants ». Avant cela, il avait été dénigré par une campagne de tracts.
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Un sujet de RT en anglais (non sous-titré en français mais on comprend tout avec les images) sur ce scandale :