Il faut avoir une approche théologique et non laique de l’histoire.
C’est encore plus vrai en matière de colonisation.
Par exemple :
La république des trois Jules (Simon, Grevy, Ferry) a toujours empêché l’apostolat de l’Eglise dans les colonies françaises car il faisait oncurrence à l’apostolat de la religion maçonnique.
Ainsi, les pères blancs qui étaient tous français et qui ont évangélisé le Monde étaient partout chez eux sauf dans les colonies françaises.
Dans l’empire britannique , au contraire, l’église anglicane n’ayant pas le droit statutairement de s’exporter, les pères blancs ont été bien accueillis, et partout où ils sont allés par leur apostolat et leur tryptique "Eglise-Hopital-Ecole" ont pacifié les colonies anglaises.
Or, vous constaterez que partout où cette christianisation a eu lieu la décolonisation a été pacifique et la post colonisation pacifiante.
Par contre, là où elle n’a pu exister ou a été contredite, les reproches, les pleurs et le sang sont partout.
Le plus grand père blanc est Saint françois Xavier qui a évangélisé l’Asie : partout où il est passé, la haine antiblanc n’existe pas (Indonésie, Malaisie, Japon)
La réussite civilisationnelle de la colonisation se mesure à son nombre d’églises catholiques.
Et sa faillite à leur absence.
Si on admet ce "détail" de l’histoire coloniale, alors la résolution de notre contentieux migratoire passe par l’abrogation de la république laïque, et la restauration du christianisme d’Etat.
Et comme ça ne se fera pas, la république n’étant pas pressée de se suicider, elle mourra dans le sang et les larmes, par les conséquences de son idéologie christophobe.
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