Bonjour Mr Friot,
Respectant tout à fait votre travail libre de retraité qui contribue agréablement à l’éducation des jeunes gens (il y a de quoi s’attirer les foudres d’un professeur de droit social en quatre mots, c’est un travail un peu similaire à celui de Franck Lepage), il m’apparait néanmoins regrettable que votre histoire commence en 1946 et que malgré votre sourire taquin vous ayez renier les institutions du Maréchal aussi brusquement sur "Le Media".
En effet, si votre histoire commençait avec la charte du travail de 1941, peut-être que vous étendriez votre champs de bataille sur un terrain susceptible de vous apportez la victoire. Le préambule de la Charte est somptueux et la présentation de la Charte, même par Wikipédia, nous montre que Mr Ambroise Croizat a été à bonne école avec le "Renaréchal" Pétain : "Elle instaure des corporations par branches d’activité, dans le but de favoriser l’entente entre patrons et ouvriers, et d’éviter la lutte des classes".
En toute amitié Mr Friot, même si le "salaire à la qualification professionnelle" (le nom est long, ça doit jouer) est une création du conflit de la lutte des classes, en tant que mammifère, permettez-moi d’aspirer à un horizon qui se souvient du concept de la lutte des classes comme d’une de ses premières fissures.
Fissure que vous pourrez réparer assis, et de la main gauche, grâce à la corporation du bâtiment prévue par ladite Charte du travail du Maréchal, en toute quiétude, libéré du marché du travail ET de la lutte des classes, puisque votre employeur sera votre Humble Roy de France. Sa tâche est de s’assurer que le capital sauvage reste, comme les nuages indésirables, à l’extérieur des frontières du Royaume de France, ou les travailleurs du Roy sont payés selon leur qualification ou leur grade dans la corporation (Il ne faut pas 33 grades, ça porte malheur) en pièces d’or, d’argent et de cuivre, sonnantes et trébuchantes.
La dernière fois que c’est arrivé, nous avions un Roi ou un Empereur, et les pièces de monnaies à son effigie jonchent encore les forêts et les champs de France par milliers. (1 empereur = 60 millions de militants CGT)
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