Le 30 décembre 2020, le Sénat argentin a approuvé la légalisation de l’avortement jusqu’à 14 semaines de grossesse. Si le lobby féministe se félicite de cette libéralisation, ce sont bien les organismes internationaux (FMI, G20, OCDE, ONU...) qui ont imposé leur agenda à l’Argentine chrétienne.
Brésil : Bolsonaro attaque violemment l’Argentine sur l’avortement
(...)
Jair Bolsonaro a déploré mercredi la légalisation de l’avortement en Argentine. Le chef de l’État a ainsi déclaré que la « vie des enfants argentins » pouvait désormais être « fauchée » avec « le consentement de l’État ».
« Je suis profondément désolé pour les enfants argentins, dont la vie peut être désormais fauchée dans le ventre de leur mère avec le consentement de l’État », a écrit sur Twitter le leader d’extrême droite, dont les soutiens évangélistes sont de farouches opposants à la légalisation de l’avortement. « Tant que cela dépendra de moi ou de mon gouvernement, l’avortement ne sera jamais autorisé sur notre sol. Nous nous battrons toujours pour protéger la vie des innocents », a-t-il ajouté.
(...)
Au Brésil, l’avortement est puni de trois ans de prison et n’est permis qu’en cas de viol, de danger pour la mère ou de grave malformation du fœtus.
Lire l’article entier sur 20minutes.fr