On avait l’habitude de voir surgir « nos » dirigeants dans les médias BFMisés pour asséner leur politique pseudo-sanitaire qui consiste à entretenir la peur et à détruire la protection sociale des Français. D’ailleurs, les Delfraissy, Castex et autres Véran sont associés à angoisse, menace et punition, selon le degré de croyance en ces irresponsables.
Mais depuis ce mercredi 3 mars 2021, après un an de désinformations et de mensonges d’un niveau jamais vu sous la Ve, voici que des représentants de l’État ouvrent une fenêtre sur le soleil, sur la lumière, sur le futur.
Il faudrait être bête pour croire que c’’est pour notre bien, avec ce que l’on sait des mercenaires de la Macronie. Cela cache évidemment un donnant-donnant, qui pourrait être celui des fameuses réformes antisociales prévues dès le premier jour du coup d’État du 7 mai 2017 : il s’agit, pour le plus grand profit de la Banque et de l’oligarchie mondialiste, de déconstruire le Travail et ses lois, et de trouer le filet social français issu des trois dates phares, 1936, 1945 et 1969. Sans oublier 1981 et les cadeaux du gouvernement Mauroy aux travailleurs, dont ils ne jouiront que quelques mois, et qu’ils paieront par la suite très cher sous le régime néolibéral et européiste de Fabius, Mitterrand incarnant la continuité et la lâcheté de l’État.
EN DIRECT | Compte rendu du Conseil des ministres du 3 mars 2021 par @GabrielAttal, porte-parole du Gouvernement.https://t.co/rnohX5VbK6
— Élysée (@Elysee) March 3, 2021
Ainsi, et Gabriel Attal et le Conseil d’État, cette chose soumise aux réseaux de pouvoir occultes – on l’a vu avec l’affaire Valls contre Dieudonné en février 2014 –, nous promettent-ils des lendemains qui chantent. France Info écrit :
« Le Conseil d’État a vivement critiqué, mercredi 3 mars, la recommandation du ministère des Solidarités et de la Santé d’interdire totalement les sorties aux résidents d’établissements pour personnes âgées, une mesure prise dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de Covid-19. Saisi par les enfants d’une résidente, le juge des référés de l’instance a suspendu cette interdiction, estimant que "la majorité des résidents ont été vaccinés" et que des mesures peuvent désormais être prises par "les directeurs d’établissement au cas par cas", selon un communiqué de la haute juridiction administrative. »
« "Un retour à une vie plus normale". Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a donné un horizon vers une levée de certaines restrictions sanitaires, lors de son point-presse à la suite du Conseil des ministres. L’exécutif espère "un retour à une vie plus normale (...) peut-être dès la mi-avril", même si, entre-temps, auront lieu "des semaines de gros temps", a déclaré le porte-parole du gouvernement, en précisant que le Premier ministre, Jean Castex, tiendra jeudi une conférence de presse. Il sera accompagné du ministre de la Santé, Olivier Véran. »
Maintenant, c’est à qui sera le plus respectueux des Français qui ont souffert non pas du Covid (à 95 %), mais des mesures sanitaires et économiques qui étaient censées les protéger du Covid... Anne Hidalgo, qui se voit en future présidente de la République, y a été de son virage à 180 degrés, après la déclaration de son premier adjoint sur un confinement « dur » de trois semaines à Paris : elle s’est opposée au préfet qui évoquait un confinement à Paris et dans la petite couronne le week-end, qu’elle a qualifié de « proposition difficile, dure, voire même inhumaine ». Quel retournement !
Sans attendre, la mairie de Paris a annoncé jeudi soir qu’elle allait proposer au gouvernement un confinement de trois semaines dans la capitale afin « d’avoir la perspective de tout rouvrir » à son issue, y compris bars, restaurants et lieux culturels. https://t.co/syueWURmbs
— Le Monde (@lemondefr) February 26, 2021
Anne Hidalgo sur la proposition du gouvernement de confiner Paris le week-end : "J'ai dit mon désaccord, je la trouve difficile, dure, voire même inhumaine" pic.twitter.com/3KR9KVkYzC
— BFM Paris (@BFMParis) March 1, 2021
Il n’y aura pas de confinement le week-end à Paris et dans les sept autres départements de la petite et de la grande couronne en Île-de-France malgré le nombre important de cas de Covid-19 a appris franceinfo de source gouvernementale mercredi 3 mars. La question de l’acceptabilité d’une telle mesure par la population francilienne a pesé dans la décision, selon les informations de franceinfo. Le service de communication du gouvernement a fait remonter cette semaine aux dirigeants de l’exécutif l’explosion de la lassitude et de la morosité chez les Français. (France Info)
D’où vient cette soudaine mansuétude chez ceux qui n’avaient pas de mots assez durs pour les Français qui ne respectaient pas les consignes (débiles) des autorités sanitaires ? Y aurait-il des informations que nous n’avons pas, et qui montrent un ras-le-bol qui peut virer violent ?
Les merdias provoquent la terreur et le chaos sanitaire dans notre pays...,ce sont eux qui nous enfoncent dans la peur extrême et pousseront sûrement les gens les plus fragiles au suicide.., le CSA devrait vraiment interdire ça ! pic.twitter.com/dwtHPZ934E
— Mervan67♏ (@Mervan671) March 1, 2021
La France à la sauce Thatcher
Il semble que les remontées d’informations de terrain par les employés des RG (DGSI) aient fait prendre conscience au gouvernement des dégâts occasionnés par leur politique et de la colère populaire qui ne cesse de monter. Tout ça sent l’électoralisme, surtout que pendant cette « libération » annoncée (Macron donne l’échéance de la mi-avril), les pires réformes, autrement dit les destructions sociales, risquent de passer les doigts dans le nez. Un printemps de retrouvailles, les entreprises qui réembauchent, l’activité qui reprend, les cinémas qui rouvrent... et les indemnités du chômage qui diminuent. C’est programmé pour le 1er juillet, au moment où, sevrés de vacances, les Français voudront tout oublier, et surtout cette année de merde...
Mais ne soyons pas plus complotistes que les comploteurs aux commandes, et jetons un œil sur le rôle du renseignement dans ce changement.
Pour sonder l’état d’esprit des Français et être au plus proche de la réalité, le gouvernement prend en compte l’intégralité des indicateurs. Un équilibre si difficile à tenir qu’il fait « forcément des mécontents dans de nombreux secteurs », indique une source bien informée. Les sondages sont utiles, mais pas autant que le travail des renseignements territoriaux (RT). Les 79 antennes départementales et 14 services régionaux sont sur le pied de guerre, partout en France, pour donner des informations complètes aux autorités, véritable aide indirecte à la prise de décision du gouvernement. Chaque semaine, ils fournissent ainsi au ministère de l’Intérieur des « notes d’état d’esprit » relatives aux effets des mesures sanitaires, leur impact dans la société et les risques sociaux qui en découlent. (Le Figaro)
Au lieu de payer des fonctionnaires pour prendre la température de la France, il suffirait de rouvrir les bistrots et d’écouter les conversations du matin, cela coûterait moins cher à tout le monde et relancerait l’activité. A-t-on besoin de milliers d’agents qui nous écoutent, laissent traîner leurs oreilles dans les regroupements, et font remonter des notes aux aveugles et sourds qui nous gouvernent ?
Il est vrai que l’exemple néerlandais a pu inquiéter ces oligarques planqués.
Une explosion, qualifiée d’attaque « démentielle » par le ministre néerlandais de la Santé, s’est produite mercredi près d’un centre de dépistage de la COVID-19 sans faire de blessés aux Pays-Bas, selon la police. (lapresse.ca)
Écoutez maintenant, toujours dans ce journal canadien, les mots utilisés par les responsables de l’État néerlandais :
Le premier ministre Mark Rutte a déclaré que les employés du centre de dépistage qui « travaillent très dur pour assurer notre sécurité » semblaient avoir été la cible de l’attaque, la qualifiant de « vraiment terrible, vraiment scandaleuse », selon l’agence de presse néerlandaise ANP. Le ministre néerlandais de la Santé, Hugo de Jonge, a condamné une attaque « démentielle ». Le service local de santé, GGD, s’est dit « horrifié » par cet incident « agressif et intimidant ».
Cela s’appelle du terrorisme, mais c’est du vrai terrorisme, celui qui vient d’en bas et qui terrorise les dirigeants. Et à propos de psychose, il y a un anniversaire à fêter.
Psychose, un an déjà
Pour fêter le premier anniversaire de la psychose fabriquée par le complot tripartite associant haute médecine, gouvernement et médias, soutenus dans la coulisse par Big Pharma, nous allons diffuser deux séquences sur le travail des infirmières, l’une de mars 2020, l’autre de mars 2021.
D’abord le coup de gueule de Geneviève, celle qui hurlait dans les Grandes Gueules le 19 mars 2020 qu’on enterrait ses collègues :
« S’il vous plaît écoutez-nous, restez chez vous, vous sauvez des vies à rester chez vous, vous nous sauvez la vie, faut vraiment prendre conscience que là c’est pas une grippe, c’est pas une varicelle, ça tue et ça nous tue, on a des infirmiers dans l’Est qui meurent, on enterre nos collègues ! Les premiers à être touchés ! »
De l’autre côté de l’Atlantique mais dans le même genre, en moins criard (on se demande si Geneviève a survécu ou si elle a été enterrée), des infirmières américaines ont été équipées de caméras pour filmer... la mort des malades du Covid. On comprend que l’équipe de Biden a besoin d’entretenir la peur nationale.
On note qu’on aurait pu faire ce reportage en « neuro » n’importe quand avant le Covid, et qu’on aurait vu autant de gens mourir de pathologies différentes.