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Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

La France compte d’innombrables dessinateurs, d’écoles publiques ou privées de dessin (sauf les Beaux-Arts, qui ont lâché l’affaire), de BD ou de graphisme, elle produit des artistes d’excellent niveau, mais à l’arrivée, dans l’entonnoir, tout cet ensemble finit en production culturelle de gauche. Vous avez dit monopole ? Vous avez dit censure ?

 

Pour qui connaît un peu le milieu, quand on fait du dessin, la totalité des éditeurs sont de gauche. Le Cherche midi a longtemps été le petit temple des dessinateurs d’humour, par exemple, mais uniquement dans la ligne gauchiste. Même aux éditions du Square, qui diffusaient les albums de l’équipe d’Hara-Kiri, on faisait globalement dans le gauchiste, sinon le communiste, par exemple avec Wolinski et Cabu, ces gros vendeurs.

À notre connaissance, les dessinateurs de droite ou d’extrême droite n’étaient pas invités au banquet, alors qu’il aurait pu y avoir une certaine confraternité. Pour des raison de partage du gâteau, cela n’a pas été le cas, et les dessinateurs non gauchistes de BD ou d’humour ont quasiment inexisté pour le grand public. A-t-on déjà vu une interview de Faizant, le père des droitistes, à la télé ? Ou aujourd’hui de Marsault ?

En conséquence de quoi, pour le grand public, le dessin de presse et la BD ne peuvent être que de gauche, pédagogiquement de gauche. Or, il y a actuellement des dessinateurs, grâce aux réseaux sociaux, qui ne font plus dans la gauche, mais cela ne veut pas forcément dire qu’ils sont hitlériens dans l’âme. C’est pourtant le résultat maléfique de cette exclusion historique. Si vous n’êtes pas de gauche, alors vous être complotiste, raciste, dangereux pour les enfants et les grands.

Car la BD a longtemps été sévèrement contrôlée par l’État pour des raisons de protection de l’enfance (on rigole quand on sait où se nichaient les pédos d’en haut). Maintenant, ce n’est plus vraiment l’État qui fait ce job, mais le Système lui-même, on a abouti à de l’autocensure. Sans le Net et l’explosion des RS, toute une part de la création aurait été invisibilisée à jamais.

Pour vous montrer qu’on ne déconne pas, on va causer du palmarès du festival d’Angoulême 2025, qui s’achève ce 2 février. On va faire dans le rapide car l’intro a été un peu longue, un peu proustique. L’ex-dessinateur de Charlie Hebdo Luz repart avec le Fauve d’or, pour son album Deux filles nues. Ça parle de popo lesbien ? Pas du tout.

« Je voulais raconter l’histoire d’un tableau qui a vu des histoires tragiques, notamment la montée de l’extrême droite. Je voulais faire un bouquin d’Histoire et j’ai fait un bouquin d’actualité. »

 

Eh bien c’est l’histoire d’un tableau volé aux juifs par les nazis. France Info écrit :

Dans cet album, l’ancien dessinateur de Charlie Hebdo retrace l’histoire vraie d’un tableau peint en 1919 par l’Allemand Otto Mueller, spolié à un collectionneur juif par les nazis avant d’être restitué après-guerre à ses descendants.

On a sorti la kalkulette : le 7 janvier 2025, c’est le 10e anniversaire de la mort de Charlie, et le 27, le 80e anniversaire de la libé d’Auschwitz. Hum, un peu de numérolo à la con, 27 plus 7 moins 1 égale le 33 janvier, soit le 2 février. On a bien un alignement des étoiles (hum) sur la Shoah et Charlie.

Techniquement, dans la France d’aujourd’hui, une shoarlie ne pouvait échapper au premier prix. Et encore, les deux filles nues auraient pu être lesbiennes, ou noires, ou obèses, ou les trois, comme les responsables des incendies en Californie.

Mais ne discriminons pas, et voyons quels sont les autres prix accordés. C’est comme pour Cannes, on ne va pas s’appesantir sur les faux prix, mais en choisir trois symboliques : le grand prix de la Ville d’Angoulême, le Fauve d’or, et le Fauve prix du public France Télévisions. Pour le troisième, on laisse la parole à l’impénétrable Alix.

 

 

On ne vous inflige pas les commentaires dithyrambiques de France Info ou Téléramasse, c’est trop prévisible. On l’a déjà dit, une IA – même française ! – peut remplacer toute la presse de gauche.

On va finir sur une note pour une fois ni antiwoke ni anti-shoarlie avec Anouk Ricard, la drôle de dessinatrice qui ne rentre pas dans la moule. Anouk, c’est la fausse innocence, le dessin pour enfants piqueté de vicelardise absurde.

On ne se lasse pas de ses petits détails qui foutent toute une image de bonheur préfabriqué par terre, une façon de dire son scepticisme devant un vivre-ensemble foireux, une société chaotique et sa norme débile qui rend les gens idiots et peureux.

 

 

La presse se gourre en célébrant « la 5e femme à remporter le Grand Prix » d’Angou, car on parle d’une dessinatrice pas féministe (ou gauchiste) pour deux sous dans son œuvre. De toute façon, on ne peut pas être drôle et gauchiste, c’est antinomique, car le gauchisme est une limite mentale. Regardez Guillon, Aram, et regardez Dieudonné, Bigard : y a pas photo.

C’est la même erreur que L’Obs qui avait casé Bukowski dans les écrivains alcooliques, alors que c’est un maître de la narration, un impressionniste littéraire, un type qui vous fait vivre une situation ou une émotion avec de simples petites touches, un style à l’efficacité redoutable dépouillé du gras proustien (qui a ses adeptes).

On va comparer ça aux joueurs de rugby : avant, on avait des masses ventrues de 250 kg qui se déplaçaient en diplodocus ; aujourd’hui des mecs de 100 kg dégraissés à mort qui courent comme des raptors (mais qui se déchirent musculairement trois fois plus).

 

 

Il faudrait voir ce que donnerait un match entre les Français qui ont mis sept essais aux Gallois le 1er février et ceux de Paparemborde à la fin des années 70... Enfin, bon, le vrai test ce sera face aux Rosbifs, comme toujours.

Angoulême, c’est devenu Cannes

 






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26 Commentaires

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  • #3487347
    Le 2 février à 13:33 par David Crevel
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    le festival d’Angoulême c’est comme le festival de Khan, les victoires de la musique, les Césars, ou les Molières, du tartinage de biscotte entre pseudos auteurs de BD siono-gauchos-bobos, et autres petits kapos du système, et je ne parle même pas du niveau catastrophique des dessinateurs, même pas digne d’un album de monsieur patate à colorier, personnellement j’ai arrêté la BD francophone au début des années 90, au moins auparavant le niveau n’était peut-être pas très élevé, mais au moins ça nous faisaient rigoler quand on étaient gamins et ados

     

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  • #3487352
    Le 2 février à 13:37 par calal
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    Heureusement que l’argent des impots des francais va servir a acheter ces ouvrages "woke" : effectivement toutes les bibliotheques municipales,des colleges et des lycees de france et de navarre vont en avoir dans leurs rayons...
    Parce que les clients qui paient encore pour ca,y en a plus, meme les mecs qui aiment les histoires de lesbiennes parce qu’y a des nichons,ils ont compris que c’etait de la publicite : "tout est permis,rien n’est possible"...

    ps : je suis alle a un "vide grenier" d’une bibliotheque municipale et j’ai failli y acheter un gros pave intitule "anthologie de la litterature khazakh" pour un euro alors que la couverture indiquait un prix neuf de 32 euros. Je ne l’ai finalement pas fait parce que je suis un modere,meme dans l’humour...

     

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    • #3487456
      Le 2 février à 19:56 par Estienne
      Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

      Dans une bibliothèque de collège (qu’on n’appelle pas ‘bibliothèque’ pour supprimer le mot ‘bible’) donc je dis bien pour collégiens – 11 à 15 ans - j’ai pu trouver la BD ‘‘Dans la forêt’’ © 2019, adaptation d’un roman écrit par une femme. Aventure post-apocalyptique en mode survivalisme de deux sœurs qui ont une relation sexuelle – donc incestueuse – très explicite, en texte comme en dessin, à côté de quoi la scène d’alcoolisme et une autre de viol sont des péripéties.
      « Fascinant ! » Le 6-9, France Inter
      « Lomig adapte avec sensibilité le best-seller initiatique, écologiste et féministe de Jean Hegland. » Livres Hebdo

       
  • #3487407
    Le 2 février à 16:52 par toto
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    La plus grande dessinatrice de presse non Charlie c’est CHARD, qui publie depuis... 58 ans dans Rivarol . Si un prof punaisait une caricature de Chard dans la salle des profs il risquerait de sérieux ennuis... Il y a un artiste dans la BD : Enki Bilal bien sûr, dont les dessins flambent à Drouot lors des ventes de samedi . D’une façon générale les dessins des célébrités de la BD se vendent de plus en plus cher . Il y a aussi des dessinateurs pornos très doués mais c’est une autre histoire... Les discrets enchérissent par internet .

     

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  • #3487412
    Le 2 février à 17:05 par dédé
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    Le triomphe de la BD a un nom : infantilisation, comme l’apparition des livres de "coloriage pour adultes" en 2012 . Je constate aussi la multiplication des films "d’animation" pour "adultes", débiles et imbitables .

     

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    • #3487486
      Le 2 février à 21:53 par anonyme
      Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

      La déclaration la plus percutante sur ce point a été faite il y a quelques années par un mec qui avait créé des superhéros dans les années ’60 pour Marvel. Il expliquait qu’à l’époque il concevait ça pour un public d’enfants allant jusqu’à 12 ans, et il trouvait inquiétant de voir que de nos jours les adultes s’en repaissaient.

      Dans mon entourage, j’ai vu un môme de cet âge pondre un argument critique, et bien articulé, en réponse à son père, qui tentait de lui passer un message qui se voulait philosophique en lien avec un film de superhéro. J’en ai presque joui ! Il s’en est fallu de peu pour que je dise au père que son fils était déjà plus brillant que lui.

       
    • #3487642
      Le 3 février à 10:26 par Babou
      Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

      Au lieu de vous enfermer dans vos idées préconçues, lisez et regardez les. Rien que les dessins animés sont mieux que les films aujourd’hui. Création, décor, personnages et expressions, musiques, textes et message derrière, scène d’action et effets spéciaux, vie réelle, émotions et j’en passé. C’est surtout la production japonaise qui tient le pavé d’ailleurs.
      Énumérez les films actuels du même niveau pour rigoler.

       
    • #3487732
      Le 3 février à 13:58 par à chier
      Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

      Infantilisation ou immaturité organisée comme le film Paddington, sorte d’Indiana Jones avec Banderas pour porter le chapeau et un ours en 3D,
      ou encore ces nouveaux « artistes LEGO » payés pour créer de nouveaux modèles.

      Ça fout les jetons, alors que la BD n’est pas un art - ou un art mineur -, comme la cuisine et la médecine.
      Le mot Art est aujourd’hui un terme fourre-tout nivelant, alors qu’il caractérisait autrefois une élite de génies au savoir-faire jamais égalé depuis, et que les adulescents dans leur élan progressiste ont fini par oublier ! - et pourtant "il ne faut pas oublier" !

      Les rares artistes ne sont pas subventionnés ni reconnus (absence de critères esthétiques), et ne suivant pas la ligne, ils ne méritent que crachats de la bouche refaite de la pompeuse Dati.

      "La culture française, je ne sais pas ce que c’est." - Macron le fléau.

       
    • #3487807
      Le 3 février à 16:22 par miles davis
      Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

      @babou. "Rien que les dessins animés sont mieux que les films aujourd’hui.". Pas du tout, c’est du même niveau. Et c’est bien pour les enfants ou goyim, c’est pareil...

       
    • #3488077
      Le 4 février à 08:49 par Babou
      Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

      @ Miles Davis : nous ne regardons pas les mêmes choses voilà tout ! Mais je reste d’accord sur certains points avec vous qui concerne les derniers Disney et presque tous les dessins animés sur Gully et France 4. Mais heureusement l’industrie ne s’arrête pas à ça.

       
    • #3488084
      Le 4 février à 09:02 par Babou
      Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

      @Chier : Et vous croyez que les baskets confectionnées par des enfants ne sont vendues qu’à des enfants. Bien sûr que les filières BD jeunesse, jouets, vêtements, affaires scolaires, jeux vidéos, chansons,etc sont créés par des adultes heureusement souvent sans politisation derrière.
      Où est le problème, ça reste avant tout un marché, puis des compétences techniques et un savoir faires. Tout le monde n’est pas capable de concevoirr un Transformer en jouet par exemple.

      Et là BD est un art ! Malmené par l’art contemporain comme la peinture ou la sculpture. Les grands artistes qui ont du talent dans le dessin et le scénario ne sont jamais reconnus ni récompensés. Vous avez là un exemple de la réalité. Ces nullités du genre roman graphique sont toujours porté en haut par les même journalistes de la bien pensence. Voilà le problème. Les auteurs patrimoines sont aujourd’hui dévaluer par des éditeurs, et à côté ces mêmes éditeurs préfèrent publier des gens sans talents. L’affaire du Spirou de Dany et Yann en est le dernier exemple.

       
  • #3487438
    Le 2 février à 18:23 par ANONYME
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    ...le dessin de presse et la BD ne peuvent être que de gauche...



    Konk, dont Wolinski a dit qu’il était le plus doué de tous les dessinateurs politiques, dont Plantu et Chenez admirent le trait, commence à gauche, au Monde, à 25 ans, de1969 à 1973 et de 1975 à 1982, puis Le Matin (1982-1984) et L’Événement du jeudi (1984-1987).

    “Douteur professionnel à l’égard du discours dominant”, Konk découvre les écrits de Robert Faurisson par “des copains journalistes au Monde“. 

    Des collègues “juifs”, “très troublés par ces textes”. “Beaucoup s’étaient laissés convaincre par ses thèses avant, finalement, de rentrer dans le rang”, mais pas lui, sa carrière en pâtira donc : adieu L’Evénement du Jeudi et autres.

    La Shoah est pour lui “une véritable obsession” : “on parle de l’Holocauste, ou du moins on y fait allusion, trente fois par jour. C’est le pivot du monde occidental”. 

    À partir de mai 1987, il collabore au Figaro, Valeurs actuelles et Minute. 

    Il est renvoyé du Figaro par Franz-Olivier Giesbert après avoir fait circuler un texte demandant la liberté de parole pour les négationnistes.

    Il dessinera également dans La Grosse Bertha et jusqu’en 1991 dans L’Idiot international. 

    Refusé par la presse de gauche comme de droite, il ne publiera plus que dans les journaux d’extrême droite avec des dessins s’attaquant entre autres à l’immigration, la classe politique et l’État, l’avortement, et l’adoption par les homosexuels.

     

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    • #3487543
      Le 3 février à 04:39 par cc
      Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

      Oui, il faudrait faire un contre-festival d’Angoulême avec de vrais artistes.
      Hergé nous bassinait-il en BD avec ses problèmes intimes de couple, étalant la vie privée d’un partenaire sans la moindre pudeur ? Ses albums auraient fini à la poubelle.
      Cette femme, qui parle d’"auteurices" torture la langue française autant que sa nature féminine et l’amour-propre ordinaire. Ses sournoises confidences porno dégoûtent et agressent les gens.
      Prochain épisode : comment je gardais les fesses serrées quand ils ont voulu me violer par derrière, et comment j’ai travaillé sur moi-même cette résistance inconsciente pour que la chose puisse se faire. Il faut que mes promoteurs s’en donnent à cœur joie, à vous violer l’âme, à vous aussi, les payeurs.
      Quand on a un problème de diarrhée, on ne s’en vante pas.
      Va voir ton médecin, il supportera l’épreuve de t’écouter lui parler de tes serrages ou lâchages de tuyaux, et tu devras le payer pour cela.

       
  • #3487519
    Le 3 février à 00:35 par Knokke
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    Lorsque le salaire d’un dessinateur de BD augmente, c’est que le RSA a augmenté... ou qu’il fait parti de la Communauté.

     

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  • #3487577
    Le 3 février à 07:09 par paramesh
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    Anouk Ricard ? mais c’est NUL A CHIER question dessin,
    Purée, quand on connait l’histoire de la BD française et ses génies du dessin (Giraud, Reiser, Tardi, Cabu, Druillet, Alexis,Goetlib, au hasard comme ça vient et j’en oublie des dizaines d’autres) on atteint aujourd’hui le niveau d’une maternelle pour trisomiques. (du sous-Pif le chien des années 50)

     

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  • #3488031
    Le 4 février à 06:23 par anonyme
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    Depuis la mort d’Hergé, d’Uderzo, de Morris et de Victor Hubinon, les BD c’est de la merde gauchiste et mal dessinée !

     

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  • #3488042
    Le 4 février à 07:19 par Jojoyoyo
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    La seule fois où je me suis appuyé sur le festival d’Angoulême pour un achat de bd c’était pour Aama de Peeters. Un policier/aventure captivant dans un univers déluré Space opéra.
    J’ai trouvé ça excellent je vous le recommande.

    j’ai vu aussi dans les commentaires des comparaisons entre manga et bd française.
    Franchement ça n’a aucun sens de comparer ce sont deux industries très différentes.
    A la rigueur on pourrait comparer comics et manga ce serait déjà plus logique.

    Deux autres reco
    comics : Top 10 sorti en petite édition (10,90€) de Alan Moore. Un policier (aussi) Exotique et drôle dans un monde de super-héros.

    Manga : Pluto 8 tomes à 8€ de Naoki Urasawa. Un policier (encore) sur la place de l’intelligence artificielle. Ils ont une adaptation animée sur Netflix de très bonne facture.

     

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  • #3488161
    Le 4 février à 12:24 par marmiedoise
    Angoulême 2025 : des prix englués dans le woke

    Education et culture sont depuis 4 decennies tres largement sous la main du gauchisme societal pour les resultats que l on verifie, de la merde !
    L education nationale fabrique toujours plus des cancres et des incultes quand a la culture elle n est qu un repair de "fils/filles de", de bobo et autres metro-sexuels !
    Tout ce que le gauchisme a chapote depuis tant d annees tourne systematiquement au naufrage et il y a encore pletore de cons pour s imaginer que cette ideologie de merde incarne le progres et le social...

     

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