Les jurés du procès opposant Johnny Depp à Amber Heard, qui s’accusaient mutuellement de diffamation, sont parvenus mercredi 1er juin à un verdict. Les sept membres du jury ont répondu « oui » à la question de savoir si le titre et deux passages d’une tribune, publiée en 2018 par Amber Heard, contenaient des propos diffamatoires à l’égard de Johnny Depp, selon la lecture de leur décision. Le jury a octroyé à l’acteur 15 millions de dollars de dommages-intérêts. En clair, les sept jurés ont estimé qu’Amber Heard avait émis des fausses déclarations en se décrivant comme victime de violences conjugales, et qu’elle avait agi « avec une intention malveillante ». (Le Point)
Elle a menti. Elle a tellement menti que sa montagne de mensonges lui est retombée dessus, comme un torrent de boue. Même le détective privé qu’elle avait mandaté pour plomber Johnny Depp a fini par témoigner contre elle, parce que le parjure, aux États-Unis, c’est dangereux. Pas chez nous, on le voit avec Jakubowicz qui déclare qu’on peut mentir pour la défense d’un client, ou Darmanin qui ment comme un idiot devant le monde entier, faisant passer le gouvernement pour tordu, incompétent et minable.
Pour les menteuses féministes, Amber ne pouvait pas perdre, tout simplement parce qu’elle est une femme, c’est-à-dire forcément victime, forcément gentille, forcément souffrante, forcément honnête. Hélas, n’importe quel morphopsychologue ou personne un peu à l’écoute de l’humain peut voir le masque de vice sur le visage de cette médiocre actrice, à la fois sur écran et dans la vie. Et encore plus dans le prétoire. Eh bien malgré toutes les évidences, les propagandistes du MeToo français ont pris fait et cause pour la pleurnicharde, prouvant en cela que la vérité ou l’authenticité étaient secondaires.
« Je suis dévastée par le fait que la montagne de preuves n’ait pas été suffisante pour faire face au pouvoir, à l’influence et à l’ascendant bien plus importants de mon ex-mari. Je suis encore plus déçue par ce que ce verdict signifie pour les autres femmes. C’est un revers. Cela remet en cause l’idée que la violence envers les femmes doit être prise au sérieux. » (Amber Heard après le verdict)
Une femme se plaint d’un mec ? Il est coupable, point à la ligne. Malheureusement pour les plaignantes pro-Amber, la justice américaine est moins tordue que leurs cerveaux. Elle a donné raison à Johnny Depp dans son accusation de diffamation à l’encontre de son ex-compagne. Sur Twitter, c’est la fin du monde : « MeToo est mort », ont tweeté des femmes. Aux USA, la condamnation de la menteuse fait boule de neige :
Des centaines de victimes de violences conjugales ont retiré leurs plaintes après le jugement rendu lors de l'affaire Heard-Depp.
MeToo est bel et bien mort.
Courage à toutes les victimes à travers le monde.https://t.co/RaxH26ssLq
— Ana (@AlizaryAna) June 2, 2022
Parce que les vraies femmes victimes de la violence des hommes ne se sentent pas représentées par Amber Heard, qui a voulu utiliser la souffrance des femmes pour son profit personnel. Cela lui coûtera 10 millions de dollars et fera réfléchir toutes celles qui voulaient s’adosser à la vague MeToo pour accuser frauduleusement des hommes de violences conjugales.
Les représentantes autoproclamées des femmes sont sur le cul, comme Sonia Devillers, la propagandiste de France Inter :
L’hypothèse qu’Amber Heard ait pu mentir n’est même pas envisagée. :) https://t.co/vAPhlLDZ24
— François Momboisse (@fmomboisse) June 2, 2022
Total déni pour cette gourde qui passe son temps à dénoncer les patriotes dans son émission où Tristan Mendès est invité régulièrement pour faire la promo de sa répression antifrançaise. Qui se ressemble s’assemble, n’est-ce pas ?
« Notre parole est de se taire », conclut cette femme (qui n’a même pas le courage de mettre son nom, comme si les dangereux antiféministes allaient la frapper). La parole des menteuses, oui ! Mais personne ne demande aux vraies victimes de se taire. Le résultat de ce procès fera le tri...
Les femmes qui ont vécu des violences domestiques de la part d'un ex-conjoint ont-elles le droit d'en parler ? Le verdict d'aujourd'hui nous dit que non.
C'est un backlash du mouvement #MeToo dont on subira les conséquences pendant longtemps. Notre parole est de se taire.
— Fable (@Fables_21e) June 1, 2022
Amber a fait plus de mal à MeToo que tous les salauds réunis !
Amber Heard incarne l’escroquerie féministe dans toute sa splendeur. Les féministes devraient se retourner contre elle et l’excommunier, plutôt que de s’en prendre, comme toujours, par paresse intellectuelle, aux hommes.
Mdr elle vit dans un monde parallèle.
Amber Heard a juste discrédité des mouvements féministes comme #MeToo qui ont encore aujourd’hui du mal à se faire entendre / respecter par certains
Se maquiller pr simuler des coups, quand des femmes sont battues dans le silence, la honte https://t.co/4iE5YqAblY
— (@BoulelSkaf) June 1, 2022
Pouvez vous envisager que les gens ont suivit le procès et vu les preuves ?
Est-il envisageable pour vous qu'un homme soit victime et une femme coupable ?
Amber Heard ne représente qu'elle même.
Elle a mentit et l'a battu.
C'est aussi grave que si c'était un homme.#MeToo #MenToo https://t.co/ccV7XMg7dP— Élita Rkov (@ElitaRkov) June 2, 2022
Le mot de la fin à une vraie victime de violences conjugales
La énième récupération du mouvement #MeToo par une menteuse comme Amber Heard est un véritable crachat à la gueule des VRAIES victimes !
Je suis une survivante et je serai toujours aux côtés des victimes, quelque soit leur sexe !!!#JusticeForJohnnyDepp— Ben et Fifi (@BenFifi62) June 1, 2022