Cette intervention soulève un point essentiel, jamais abordé dans les médias : qui a le pouvoir, la légitimité et le droit, de déclarer que le système immunitaire humain, produit de milliards d’années d’évolution, est définitivement obsolète et inopérant ?
Peut on par décret, déclarer que le(s) système(s) immunitaire(s) de l’ensemble d’une population, nationale, voire mondiale, est définitivement obsolète et inopérant ?
Si seulement une partie, très réduite, et clairement identifiée, de la population est susceptible de faire une forme grave et de décéder des suites de l’infection au SARS-Cov2, et qu’il existe de nombreuses alternatives thérapeutiques conventionnelles, efficaces et sans risques, quelle est l’utilité d’imposer l’injection d’un produit expérimental aux effets peu connus à court terme, et totalement inconnus à long terme, à l’ensemble d’une population saine ?
Visiblement, tous les acteurs politiques veulent absolument que les labos atteignent les objectifs financiers qu’ils se sont fixés, c’est la raison pour laquelle ils se sont tous transformés, publiquement, sans aucun égard pour le principe de précaution, devant nos yeux ébahis, en VRP pour vaccins à ARN.
Si on accepte que les gouvernements versent en tribu des milliards aux labos, sans vaccination, est ce qu’une fois que les labos auront atteint leurs objectifs financiers, nous pourrons reprendre une vie normale sans avoir à servir de cobaye ?
C’est quand même la plus grande prise d’otage de l’histoire humaine, une privation anticonstitutionnelle et illégale, de l’ensemble des droits et des libertés humaines, avec pour seule sortie autorisée l’expérimentation obligatoire d’une thérapie génique sans aucune garantie scientifiquement établie d’innocuité et de résultat...
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