à Esteban
En effet la vidéo Alonso est excellente.
Le débat était pénible, jusqu’à l’arrivée de Soral, qui casse la baraque !
La tête d’Alonso, obligée de supporter la présence d’AS !
Et vue pour ce qu’elle est : une bourgeoise auto-servie et servie par la bonne, auto-satisfaite, sans humour, ni plus ni moins.
Il y a un argument auquel personne n’a pensé dans ce débat.
Il y est question des hommes qui doivent aider les femmes après le taf, parce que leur femme travaille aussi à l’extérieur. Et donc les femmes qui doivent aider les hommes pour la même raison.
D’abord, si les hommes peuvent faire la vaisselle, leur femme peut-elle réparer la bagnole ?
Ensuite, pourquoi diable les femmes ET les hommes devraient-ils travailler ENCORE après le taf ?
Les années 50 avaient résolu la question : tous les hommes avaient un emploi ou une source de revenus, et presque toutes leurs femmes évitaient à l’homme des dépenses ou des corvées en travaillant à domicile comme : restauratrices, ménagères aidées par les machines, jardinières, coursières ; et surtout éducatrices de jeunes enfants. Tout cela relève de la petite entreprise : madame était la patronne à la maison.
C’est plaisant, quoi que prétendît Alonso. Adieu collègues hostiles, chef, métro !
Et ni madame ni monsieur ne travaillaient APRES le taf du jour.
Qui profitait le mieux de ses parents ? Les gosses ! A 4h, après l’école, ils avaient un bon goûter plus leur mère à la maison ! Petits, ils apprenaient tout d’elle !
Aujourd’hui, la situation est différente : monsieur ne gagne pas assez pour madame et l’enfant . Solution : favoriser l’industrie, l’artisanant, l’entreprise familiale ! Et l’armée, qui garantit l’indépendance d’un pays. La paie augmentera. Madame et monsieur pourront travailler ensemble à leur entreprise COMMUNE, quelle qu’elle soit : atelier, ferme, salaire pour l’un, maison pour l’autre ! et vive les robots-esclaves mécaniques !
Tout s’arrangera.