Bonjour ou bonsoir.
A l’échelle mondiale, 81 pays adhérent de manière directe ou indirecte (tacite ou officielle) à la politique de l’OTAN (depuis 1949) sur 195, soit 41% des nations référencées. L’OTAN en effectif global potentiel, c’est environ 3 300 000 militaires. Voilà les chiffres avérés, et officiels de nos autorités. A ne prendre peut-être au pied de la lettre.
En admettant que la Chine, la Corée du nord, la Russie et l’Iran coalisent militairement (ce qui n‘est pas à exclure), c’est potentiellement plus de 6 000 000 d‘hommes. La Syrie comme d’autres, étant encore non-alignée (ou annexée, partisane ou autres), le rapport belligérant reste encore en instance, voire incertain ; sans compter la possession officielle de l’arme nucléaire ou non en vue de dissuasion ou pas, nonobstant bien-sûre les contingences terrestres (et/ou aériennes etc.) stratégiques. Tout cela évidement dans une optique de présupposée guerre totale, car l’on a rien trouvé de mieux pour maintenir la fameuse ‘’cohésion sociale’’ vectrice (entre autres) d‘asservissement. Mais, la tendance est fragile et peut toujours tourner en faveur de l’honnêteté.
Questions : Qui fomente tout cet imbroglio, au demeurant d’une simplicité enfantine dans ses tenants et aboutissants, mais malheureusement dépassant l‘entendement humain contemporain ? Quelle place et/ou rôle occupe le peuple français dans toute cette tourbe, si tant soit peu existe-t-il encore… et le cas échéant, comment peut-il encore se faire acornardir par ce système ; lui qui par essence est soit-disant révolutionnaire ? Comment la population civile mondiale pourrait-elle tournée le dos à cette impasse, à défaut de l‘affronter directement ?
N’oublions pas en occurrence que nous sommes mille fois plus nombreux que tout ce beau monde réuni… si il se réunit.
Nous serons tous morts à long terme, et l’opprobre absolue serait que d’ici ‘’x’’ siècles, un ’’y’’ anthropologue (à supputer que l‘humanité perdure), par le biais d’écrits majeurs réminiscents (comme l’internet), soutienne bec et ongle à la plèbe nous succédant, que leurs ancêtres (donc nous), n’ayons rien pu changer à tout cela uniquement par lâcheté et/ou asservissement intégral et bien consenti ontologiquement. Nous sommes tous à la fois victimes et responsables de notre propre ‘’periclitabatur‘’.
Autrement, saluons ce fait indéniable que monsieur Soral (et son équipe) se mouille jusqu’au cou par l’appuie de ses couilles de deux tonnes chacune, pour représenter cette majorité silencieuse que nous représentons, maquisarde pour certains, et résistante pour d’autres. Merci. Bien à vous.
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