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Alain Soral : sa réponse au président du CRIF

Le judaïsme, c’est l’universalisme comme fin et le particularisme comme moyen, ose un certain Yonathan Arfi, président d’une assoce communautaire aussi obscure qu’ultraminoritaire, à la face des ministres français réquisitionnés pour l’occasion, le fameux dîner du CRIF. Il n’en fallait pas plus pour faire sursauter Alain Soral.

 

 

Cette contre-vérité (ou oxymore) d’Arfi résonne avec la récente sortie prêtée à Macron, l’autre président, des Français cette fois, qui a frappé les juifs au cœur avec leur éloignement de l’universalisme. En 2024 il disait que la meilleure défense contre l’antisémitisme, c’était justement l’universalisme juif.

 

 

C’est sûr qu’opérer un génocide n’est pas très universaliste, ça ne sent pas la voie à suivre pour les autres pays. Qui admire aujourd’hui Israël dans le monde ? Sans le grand frère (Big Brother) américain et la perfide Albion, Israël ne pourrait pas exister. D’où l’importance de contrôler l’entité anglo-américaine.

 

Le journal L’Opinion a révélé qu’Emmanuel Macron aurait reproché, en Conseil des ministres, « à une partie de la communauté juive d’oublier son universalisme ». Des propos formellement démentis par l’Élysée.

C’est bien la méthode Macron, qui consiste à alterner eau chaude et eau froide pour se mettre les frileux et les non-frileux dans la poche, ou à dos. Face au Macron, le ministre des Outre-mer, la marionnette Valls, agitée par le lobby sioniste, a dû se mouiller pour ses maîtres, qui le tiennent depuis 2014. Ou 2015. Comme le relate i24NEWS, l’obligé du lobby a pris le risque d’affronter le Président :

Le débat a pris une tournure plus sensible lorsque Manuel Valls a évoqué le risque de fracture entre l’exécutif et la communauté juive. Emmanuel Macron lui a répondu en appelant cette dernière à ne pas renier sa tradition universaliste. « L’histoire de la communauté juive, c’est l’universalisme », a-t-il affirmé, tout en mettant en garde contre certaines dérives radicales en son sein.

On aime bien le « certaines dérives radicales en son sein », alors que la radicalité y est majoritaire, en ce qui concerne la colonisation de la Palestine, jusqu’à la justification du génocide ! D’où le sursaut d’Alain Soral, carrément en une de son site.

 

 

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6 Commentaires

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  • #3552538
    Le 10 août à 09:37 par Conseil
    Alain Soral : sa réponse au président du CRIF

    AS en superforme. Toujours cet exemple de concision (en 20 minutes ce que d’autres diraient en 120 minutes) et de clarté. Clarté dans l’expression et clarté dans les termes choisis.
    17h10 tacle d’humour toujours au top. et rire facétieux et communicatif.

     

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  • #3552544
    Le 10 août à 10:09 par Annwn
    Alain Soral : sa réponse au président du CRIF

    Rappel ou, plutôt, « Le saviez-vous ? » : Le Judaïsme a remplacé l’Israélisme qui avait joui d’une extraordinaire faveur à cause de sa haute morale et de la simplicité grandiose de son dogme, résumés dans ces deux mots : la Femme ; le Bien.
    Tout cela est remplacé par le Talmud qui discrédite la « race » juive.
    Aussi, il ne faut pas confondre les Juifs et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
    La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle de notre ère. Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. Aussi, c’est à eux que Voltaire fait allusion lorsqu’il écrit : « Les juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. »
    NB : « Il n’est pas étonnant qu’un peuple d’esclaves fugitifs, conquérants d’une terre paradisiaque aménagée par des civilisations au labeur desquelles ils n’avaient eu aucune part et qu’ils détruisirent par des massacres, qu’un tel peuple n’ait pu donner grand-chose de bon. Parler de « Dieu éducateur » au sujet de ce peuple est une atroce plaisanterie. Rien d’étonnant qu’il y ait tant de mal dans une civilisation — la nôtre — viciée à sa base et dans son inspiration même par cet affreux mensonge. La malédiction d’Israël pèse sur la chrétienté. Les atrocités, l’Inquisition, les exterminations d’hérétiques et d’infidèles, c’était Israël. Le capitalisme, Israël. Tout est souillé et atroce comme à dessein, à partir d’Abraham inclusivement (sauf quelques prophètes). Comme pour indiquer tout à fait clairement : Attention ! là, c’est le mal ! Peuple élu pour l’aveuglement, élu pour être le bourreau du Christ. »
    (Simone Adolphine Weil, La Pesanteur et la Grâce)

     

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  • #3552546
    Le 10 août à 10:14 par Annwn
    Alain Soral : sa réponse au président du CRIF

    « Sans le grand frère (Big Brother) américain et la perfide Albion, Israël ne pourrait pas exister. D’où l’importance de contrôler l’entité anglo-américaine. », dit l’article.
    Rappelons que le mot « British » qui est composé de « berith » ou « b’rith », alliance, et « ish », homme ou peuple, signifie « le peuple de l’Alliance ». Aussi, faisons remarquer que suite au développement de la doctrine du « peuple de l’Alliance » en Angleterre (croyance répandue du temps d’Élisabeth 1ère d’Angleterre, que les Anglo-Saxons seraient les descendants des dix « tribus perdues » d’Israël et donc les véritables israélites), les Etats-Unis d’Amérique seront le lieu de la fondation en 1843, de l’association fraternelle juive « B’nai B’rith » qui signifie, en langue hébreu, « les fils de l’Alliance ».

     

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  • #3552548
    Le 10 août à 10:56 par Pierre
    Alain Soral : sa réponse au président du CRIF

    Amusant aussi de constater que l’anagramme de CRIF est FRIC. Il n’y a pas de hasard. A chacun et chacune d’en tirer ses conclusions.

     

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  • #3552551
    Le 10 août à 11:13 par Lepaschassé
    Alain Soral : sa réponse au président du CRIF

    C’est toujours agréable de lire ou d’ ecouter les droits de réponse de Mr Soral. C’est un attaquant, un soldat de première ligne. Il n’a pas la gueule de la trouille quand il affronte l’ennemi. Il est toujours très percutant quand il se permet sa dose d’humour dont il a le secret. La fin de cette video sur le tikkum olam m’a tellement fait marrer, j’en ai pleuré de rire.
    " réparez chez vous déjà, surtout qu’il y’a beaucoup à faire, vous le savez".

     

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  • #3552553
    Le 10 août à 11:33 par ANONYME
    Alain Soral : sa réponse au président du CRIF

    ... des ministres français réquisitionnés...



    ...ce sont eux qui sont à blâmer pour leur soumission totale et leur obéissance canine aux injonctions abusives d’une minorité quasiment étrangère...

     

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