Egalité et Réconciliation
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Alain Soral chez Kentra : les confessions d’un dragueur sociologue

Trois heures de vécu, d’amour et de « cul », mais aussi de sociologie, car il n’est point de domaine sacré. N’en déplaise aux féministes, la femme n’est pas un tabou. C’est un objet de connaissance, et parfois, un bel objet de connaissance, ce qui fait donc d’une pierre deux coups.

 

Ceux qui ont suivi le live le dimanche 12 novembre à 20 heures s’en souviendront, Kentra s’en souviendra aussi.
Les auditeurs ont été accrochés par le récit truculent du « Prez », et Kentra y a gagné ses galons de journaliste qui s’efface devant son invité (en même temps, pas trop le choix).
Enfin, techniquement, la retransmission en direct a été parfaite. Qu’on se le dise !

Le « live » est enfin sorti pour tous

 

 

Sociologie du dragueur, d’Alain Soral, disponible chez Kontre Kulture

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  • #3280891

    Soral m’a tué de rire , j’en ai encore les larmes, très très fort et réjouissant bravo ????

     

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  • #3280893

    Soral m’a tué de rire, j’ai encore les larmes aux yeux, très très fort, réjouissant, Bravo

     

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    • #3281475
      Le Novembre 2023 à 10:59 par baronsamedi
      Alain Soral chez Kentra : les confessions d’un dragueur sociologue

      Fichtre oui !
      Pareil pour moi, c’est intéressant et drôle, certaines répliques comme "bander pour un vieux cul, c’est pas facile", m’ont fait pisser de rire !

      Je ne connaissais pas l’interviewer, il mène bien sa barque je trouve, faut dire qu’Alain Soral semble bien apprécier de parle de ce sujet, plus léger et moins grave que ce dont il parle d’habitude !

      Merci pour le partage en tout cas.

       
  • #3280969

    J’ai failli avoir un accident de moto tellement j’étais mort de rire en écoutant l’interview de soral. AS fait le boulot en transmettant le savoir à la nouvelle génération, travail extrêmement important pour la postérité. Kentra à été excellent pour avoir laissé AS s’exprimer à son aise. Faudra recommencer l’expérience au plus vite.

     

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  • #3281247
    Le 17 novembre 2023 à 19:02 par Heisenberg
    Alain Soral chez Kentra : les confessions d’un dragueur sociologue

    Une émission magistrale. Merci à Mr Soral pour sont temps et sa participation.

    Le temps est passé vite durant l’émission. J’ai beaucoup aimé sa façon de raconter les exemples et les anecdotes. Mon esprit travaille et imagine le jeune Soral en train de draguer.

    On sent que ce n’est plus la même époque. Je la trouve triste.

    Cette émission a été rafraîchissante et j’ai beaucoup rigolé avec la manière dont Alain raconte les choses.

    Que Dieu le protège lui, sa famille, son équipe et ses proches.

     

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  • #3281778
    Le 18 novembre 2023 à 21:30 par Manicouagan
    Alain Soral chez Kentra : les confessions d’un dragueur sociologue

    C’est vrai qu’on pourrait le réécouter 2 ou 3x et toujours s’amuser, rire, réfléchir et mettre des noms connus sur les descriptions de personnages réels qu’Alain décrit avec facilité et humour en un tour de main et vlan !!! Un film enlevant que d’écouter AS parler de son livre et l’expérience de vie des années 80-90 (que j’ai vécu aussi très intensément ayant le même âge), une période folle et joyeuse dans mon cas c’est certain et en y pensant me fait aimer ma vie parce que je suis une femme qui s’amuse !

     

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  • #3281847

    Incroyable cette vidéo. Tout ce qu’un père devrait dire à son fils...en mieux ! Cette vidéo mérite d’être vue et revue. Radicale, sans complaisance, tel que le patron sait le faire, mais sans haine non plus, cherchant toujours à expliquer ce qui nous paraissait inexplicable. Merci à ER, à M Soral et à Kentra de permettre que les plus jeunes aient une bonne raison de s’interresser à un peu plus que ce que les medias de grands chemins auront à leur dire.

     

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  • #3281851
    Le 19 novembre 2023 à 00:57 par Redondo
    Alain Soral chez Kentra : les confessions d’un dragueur sociologue

    Définitivement , Soral c’est pas pour les fragiles , j’aime son humour (noir quelques fois) , j’aime son bagout , sa façon de raconter tout simplement … mais puta** , que c’est dure a entendre et à accepter si la vie nous a pas fait de cadeaux dans ces histoires la , tellement c’est criant de vérité.

    Mais merci …

     

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  • #3281868
    Le 19 novembre 2023 à 02:58 par Robert Pierre
    Alain Soral chez Kentra : les confessions d’un dragueur sociologue

    Près de trois heures d’écoute des plus passionnant. Du fond, du fondamental... de la régalade et de la rigolade ! Confidence et témoignage d’un homme, que dis-je d’un vrai bonhomme, qui ne peut qu’inspirer le respect. Quel parcours, quelle leçon de vie...

    [...]

    Que de souvenirs lorsque j’ouvris, pour la première fois, il y a une quinzaine d’années, les livres d’Alain Soral, notamment son "Sociologie du dragueur". Rageusement, je m’y était plongé, abreuvé, ressourcé... et ai analysé ! Lectures qui furent pour moi comme une renaissance, une cure de jouvence. Sans elles, je serais assurément bien pire qu’un puceau de l’existence...

    J’ai parcouru ces pages à un tournant dans ma vie. J’étais en deuil ! Celui d’un père, d’un père de substitution, spirituel. Non qu’il fut décédé, il s’agissait plutôt d’une rupture radicale, idéologique, spirituelle. À l’image du rouge-brun avec qui il partageait la pratique de la boxe, je ne pouvais (à ses yeux) qu’apparaitre comme un ignoble fasciste. J’avais osé franchir le Rubicon, rejoindre le parti du Menhir. J’avais mis les mains dans le cambouis, en vérité ! Par intégrité, je pris l’initiative de la rupture pour ne plus jamais le revoir...

    [...]

    On ne soulignera jamais suffisamment l’importance du rôle du père dans le développement d’un homme. On ne peut esquiver ce rôle millénaire, crucial et ingrat. Pas de société viable sans trique ! Il est celui qui inscrit la Loi en vous, vous fait sortir des jupons de votre mère. Vous enjoint (parfois à coup de pompe au cul) d’aller à la rencontre de... ta femme !

    [...]

    Bref ! Interview des plus passionnant ponctué d’un vital : "Réfléchissez par vous-même..."

     

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  • #3281995

    Sur la pénétration, à mon avis il faudrait aller au delà, c’est une réalité partielle...
    Pour aller vite, une femme qui te chevauche, si t’es toujours à l’intérieur, l’histoire de la violence inhérente perd beaucoup de son poids au profit d’autres interprétations.
    On peut en effet voir les choses sous plusieurs angles, je te pénètre, tu me prends en toi, on s’emboite...
    Aussi, il y a dans l’acte sexuel ce qui est monocorde dans un sens ou l’autre et ce qui s’apparente à un jeu de positions et d’expérimentations de situations symboliques variables.
    Donc, ne pas intégrer la violence inhérente à la pénétration c’est sans doute être en dehors de la réalité mais limiter la sexualité à la pénétration sans reconnaître les autres dimensions possibles c’est ne voir qu’une part de la réalité.

     

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  • #3296290

    J’ai souvent été septique par notre Alain national qui par certains côtés m’exaspérait parce que j’ai un tropisme traditionaliste tardif qui avait tendance à me radicaliser dans mes analyses.
    J’ai 45 ans, donc d’une génération biberonnée à la culture punk rock hardcore et à la marge hip hop (n’étant pas à l’époque le cœur de cible du rap pour des raisons évidentes) avec toutes les expériences border line qui vont avec.
    Ayant grandit en milieu paysan bourguignon en voie de déliquescence car devenant peu à peu des zones périphériques des moyennes villes où se trouvait la majeur partie de l’activité économique, scolaire et culturelle, j’ai gardé tout de même un ancrage dans une certaine tradition masculine vielle France ce qui ne m’a jamais posé de problème avec les femmes qui malgré les apparences et les discours féministes étaient encore attirées par la testostérone bien dosé.
    Lorsque je l’écoute avec le recul de l’expérience de vie, je me retrouve dans son franc parlé nourrit par une vie de réflexion et d’interrogation dont le mélange est mal compris surtout par les hypocrites.
    Force est de reconnaitre qu’il a réussit brillamment à s’approprier ce qui a été par ses pairs, mais dans une temporalité différente, déjà été analysé en profondeur tout en les réactualisant par une dialectique néo punk secouant le quidam, pour mieux faire comprendre ce qui malgré l’apparente différence est dans le fond toujours d’actualité.
    Malgré son âge avancé (mais sacré bien conservé) vous êtes toujours aussi percutant dans la forme comme dans le fond.
    Sa façon de te mettre des uppercuts rhétoriques, histoire de te bousculer dans tes certitudes te fait relativiser ce qui te pousserait à une radicalité idéalisé type identitaire d’internet qui surjoue le "j’ai retrouvé mes burnes" :
    Les groupies de Charles Martel se prenant pour des chevaliers teutoniques ou des vikings en herbes car en mal de référents masculins traditionnels.
    Des réislamisés pensant servir le prophète en se rêvant martyr ou chasseur de mécréant néo croisé associateur européen névrosé qu’ils sont car n’ayant plus les référant leur permettant de trouver leur place dans une société qui il faut bien le reconnaitre est totalement impie dans tous les sens du terme.
    Bravo Maître !
    Pour les plus jeunes lisez Otto Weininger incontournable !

     

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