Discours d’Alain Escada, Président de Civitas, à la XIème journée nationale et identitaire, organisée par Synthèse Nationale à Rungis le dimanche 1er octobre 2017.
« Le combat que nous devons mener doit être aussi un combat moral et spirituel. »
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Commençons par changer les symboles car les symboles disent tout avec zero discours et ce sont eux d’ailleurs qui les rendent audibles.
Le drapeau de la France est le drapeau blanc, pas le tricolore : brûlons-le leur en place publique, hissons-le nôtre.
L’Hymne de la France n’est pas la Marseille c’est l’Ave Maria : sifflons-le leur, chantons le nôtre.
Notre devise n’est pas la devise francmaconne mais la devise catholique : Pro gloria Dei et Mundi salutant : demandons que la leur soit retirée de tous les frontons et que la nôtre la remplace.
Notre Fête nationale est le 15 aout depuis toujours, pas le 14 juillet : fêtons le 15 aout, dénonçons le 14, expédition de racailles avinées parties pour faire un casse.
Notre jour des vétérans n’est pas le 11 novembre mais le 18 juin commémorant la victoire miraculeuse de Patay en 1429, pas la boucherie fratricide de 14.
En rejetant leurs symboles et en rétablissant les nôtres, ceux constant depuis notre fondation en 496, nous dirons trois choses :
- La France est au dessus de la République
La république n’est pas française Les républicains ne sont donc plus français mais nos ennemis
Et Collard nous a dit qui était "républicain" donc anti Français.
@Pitchou
J’ai aimé le discours courageux mais vain et contradictoire d’Escada.
Il est vain de déplorer le détournement de la République par ceux-là même qui l’ont instituée que pour profaner la France : les ennemis de la France ne sont pas coupables qu’on leur ait laissé le pouvoir.
Il est contradictoire de dire non à l’élection parce que c’est une élection et parce qu’elle est républicaine mais oui aux élections municipales municipalement républicaines et électives.
Je dis qu’en prenant le problème à l’endroit (donc pour vous par la fin) on résout ce double écueil :
Vous n’avez plus à déplorer le détournement d’une république que vous condamnez à mort : vous avez seulement à condamner à mort la république et ceux qui l’ont détournée pour vous nuire.
Vous rentrez dans les élections partout , tout le temps pour les détruire, semer la contre révolution en leur sein, afin que la peur et la honte changent de camp, tout siège pris leur étant un siège retiré et donc un pouvoir enlevé.
La nation pour combattre sous vos étendards vous demandera des signes pour vous reconnaitre et vous suivre.
Ce pourquoi il faut commencer par les signes et ensuite seulement par le discours lequel introduit par les signes n’aura plus besoin de se justifier mais seulement de s’affirmer.
Avec courage.
Nous aurons gagné quand nous nous poserons les questions suivantes :
Quand brûlera-t-on (en grande cérémonie) le drapeau tricolore sur la place publique ? Hier ou aujourd’hui ?
Mettra-t-on un énorme drapeau blanc le 18 juin et le 15 aout à nos balcons ?
Sifflera-t-on à se faire pêter les veines la Marsellaise autre part que dans les stades et où chantera-ton à tue tête l’Ave Maria ? Dans les stades ? Contre la Marseillaise ?
Parce que si Civitas fait cela et nous pour lui, il finira par être élu partout.
Ce sera une explosion de joie et de délivrance dans toute la France et après elle dans toute l’Europe.
Face à l’Histoire, force est de constater que la forme de gouvernement la moins pire pour l’ensemble des peuples de France est la monarchie.
Il est désormais clair que la république est une entreprise de destruction de la grande nation française. Projet ouvertement maçonnique et messianique judaïque en sous-main. Toujours dans un même objectif : la destruction des nations fortes et enracinées afin de hâter le chaos duquel est censé venir le salut du peuple élu...
Donc Mr Escada a raison.
Le salut de la France ne passera pas par les urnes qui représentent une farce républicaine. Continuer à y croire c’est faire le jeux de l’ennemi. Seul un coup de force peut permettre de sortir la France de sa liquidation programmée. La France redeviendra ce qu’elle a toujours été lorsqu’un prince sera sacré à Reims.
Tout le reste n’est qu’une parenthèse dans l’Histoire de la plus vieille nation du monde, celle qui se doit de montrer l’exemple par son génie, un génie bien réel d’un pays unique par sa géographie, son Histoire et sa longue et lente construction au fil des siècles depuis l’an 496.
Ce sont les rois qui ont fait la France, le république consume cet héritage !
Alors pour que vive la France, vive le Roy.
Notre jour viendra.
et 
!