Quand un sujet dépend évidemment de la physique et la chimie, ainsi que des nombreuses disciplines qui en découlent telles que la biologie, l’agronomie, la médecine, etc ... et qu’on invite une étudiante en droit pour le traiter, le bon sens nous alerte : il y a un manque cruel de crédibilité et cela se ressent fortement dans les propos tenus qui n’ont pas l’ombre d’un début de démonstration, mais qui sont uniquement basés sur des affirmations brutes.
L’évocation du bi-phénol est, en soi, une preuve que nous sombrons dans le syndrome du perroquet : les phénols sont toxiques, oui, nous le savons. C’est d’ailleurs pour ça que depuis des temps immémoriaux incluant l’Egypte antique et les civilisations pré-colombiennes, l’homme les utilise en tant qu’antiseptiques et antibiotiques.
Cette polémique sur cette substance est évidemment un chiffon rouge que les bovidés s’empressent de chasser. C’est, entres autres, à cela que l’on reconnait le gauchisme : ça suit les chiffons rouges que des médias agitent exprès sous leurs yeux.
Enfin, voyons, rien que le nom donné par les médias : " perturbateur endocrinien " devrait alerter. Trouvez donc un aliment qui n’agit pas de manière directe ou indirecte sur les fonctions endocriniennes, et je mange mon slip !
Informons cette étudiante en droit que les phénols dans l’alimentation permettent de réduire les risques d’endométriose, grâce notamment à leurs effets toxiques, et qu’on ne peut comprendre la maladie que sur le long terme, tout comme l’histoire : quand 5 générations de femmes, non seulement se gavent de glucides exempt de substances antibiotiques, mais qu’en plus, elles enfantent tardivement après les premières règles, il ne faut pas s’étonner que les chiards qui viendront soient complètement pourris à la naissance, car ils seront déjà gavés de bactéries en ayant baignés dedans durant la conception : le cul-de-sac de Douglas est un nid à bactéries. Pas besoin d’incriminer Pierre, Paul ou Jacques quand ce sont l’immaturité, l’ignorance et le plaisir qui sont les coupables.
Il y a une caractéristique essentielle de notre époque : ça perore, ça babille, ça jacasse : " y a quelqu’un qui m’a dit que, j’ai lu que ... donc je sais" . Mais en final, ça ne comprend rien et ça pisse contre le vent. C’est l’envolée des incultes.
A bon entendeur, bonne journée aux censeurs et au formidable, que dis-je, à l’excellent Eric. Ce dernier, bien qu’allergique au bon sens et à la connaissance, reste d’une grande utilité.
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