La vidéo sur les "meufs qui mentent" par nature et par besoin de survie, s’applique plutôt à certaines populations extra-européennes ou peu instruites en général.
Il ne faut pas faire une généralité à caractère genré de la propension au mensonge.
Des hommes mentent, constamment ; ils sont, il est vrai, souvent des diminués physiques.
Des femmes en nombre comparable ne mentent pas, du moins sur l’essentiel.
Certains groupes mixtes mentent constamment. Ils y sont poussés dès l’enfance ou par gène acquis à force.
Certains groupes mixtes et individus de tout poil ne mentent pas pour raison culturelle/religieuse, voire génétique ; ce n’est pas inscrit dans leurs habitudes et ils naissent comme ça : francs, chercheurs de vérité, hommes ou femmes.
Le jeune vidéaste décrit une culture où les femmes, souvent menacées de coups et blessures, apprennent à dissimuler.
En Europe, dans les sphères privilégiées ou libres, quand les femmes étaient instruites par l’expérience ou les livres et surtout respectées, elles parlaient vrai, bien en face.
La force, la faiblesse... Les deux se complémentent, d’homme à femme et réciproquement. Il n’y en a pas un plus fort que l’autre. La femme est plus fine, donc plus inventive et verbale quand il faut se tirer d’une situation épineuse. L’homme est plus fort physiquement, donc plus apte à coller une mandale lors d’une situation épineuse. Sans plus.
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