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À quoi servent les villes ?

Les villes sont des organismes vivants, nourris de fluides, eau, gaz, électricité, pétrole, et solide, comme nourritures, produits manufacturés divers. Or, il n’y a plus aucune justification aux villes, quand il n’y a plus d’usines.

Ce qui crée « l’emploi », dans les grandes villes, c’est la gestion d’un entassement malsain. C’est, vulgairement parlant, la gestion de toute la merde que crée un organisme vivant et qu’il expulse par son anus.

C’est aussi un emploi malvenu des ressources, car 90 % des communes françaises pourraient doubler leur population sans construire un seul bâtiment, sans employer une personne supplémentaire, sans quasiment le moindre investissement. 90 % des communes françaises le font pendant les vacances...

C’est la raison pour laquelle les crises grecques, espagnoles, voir italiennes et américaines sont significatives : les villes, révélées à leur absence de sens économique profond, sont abandonnées. Pourquoi payer la peau du cul, ce que l’on peut avoir gratuitement, ou pas cher ?

[...] Le problème principal est que la plupart des gens encore employés, notamment dans les grandes villes le sont par des emplois, au fond, aussi totalement inutiles que superflus, voir nuisibles. Ils se traduisent par un déficit commercial élevé, révélateur d’une absence totale d’utilité.

Quand, comme un lecteur, on m’envoie le budget « rémunération » d’une commune, et que ce poste atteint 800 euros par habitant, c’est qu’il y a un problème. Le problème général est que le système économique complet, est devenu fou. Il privilégie un décompte de PIB nominal, que désormais il n’arrive même plus à maintenir, à une réelle finalité des buts.

Lire l’intégralité de l’article sur lachute.over-blog.com

Apprendre à vivre à la campagne
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40 Commentaires

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  • #862362
    Le 18 juin 2014 à 09:58 par Apofar
    À quoi servent les villes ?

    Polpot aussi a voulu supprimer les villes. Beau résultat. Tout est question d’équilibre, de mesure, de rapports. Tailler dans le tas et se plaindre que ça saigne, tout le monde sait faire, mais réguler finement la continuité et la complémentarité du tissu urbain avec le tissu rural, c’est plus difficile à faire. Avant de discuter de cela, il faut faire le constat de la dépopulation violente des campagnes depuis un siècle. Se demander aussi si la régulation du libre marché de la terre par les collectivilités locales et la SAFER, ne profitent qu’aux gros. On pourrait créer dans les PLU une nouvelle catégorie réservée à la culture Bio manuelle ou faiblement mécanisée, ouvrant droit à construire un habitat écologique (de maisons en bois sur pilotis, par exemple), et qui seraient accessibles aux parcelles agricoles ou de zones vertes, etc... Donc le matin, on jardine et on fait la cueillette des fruits et légumes, on nourrit les poules, les poissons, et on va faire un tour aux ruches, pendant 4 à 5 heures. Ensuite, on s’adonne à des activités intellectuelles et/ou économiques, en contact avec des réseaux et/ou marchés locaux, régionaux, nationaux, internationaux. Rêve d’autonomie et de complémentarité sociale, un village gaulois bien huilé, sur tout le territoire. Mais faut choisir, le peuple ou les multinationales. Parce qu’on sait que l’exode rural ne fut pas imposé pour le bienfait du peuple. Alors, il faudrait voir à organiser l’exode urbain, puisqu’il n’y a plus d’industrie. Normalement, en France, ça devrait être porteur, on a ça dans les gênes, suffit de les réveiller. Sûr que ça en produirait de la taxe foncière, de la taxe d’habitation, des plus-values immobilières et taxations associées, des commandes aux constructeurs bois, des profits aux banques associées, des gains sur le budget santé eu égard à l’alimentation de qualité. De nouveaux bocages dans les plaines nues et remembrées. Mais y a pas que le bide, faut aussi penser au cigare, à la culture, à la beauté. Faut un équilibre en tout cela. Jules Renard disait justement il y a environ un siècle de cela : "Paris, y a que ça de vrai. La province, y a du bon". Le général, quand il s’est pointé avec sa participation/décentralisation, après les avoir irrités avec le renvoi des bases et le remboursement or des papiers verts, on l’a remercié, vite fait, abruptement. Ce referendum là, on l’a pas fait revoter. Mais la France est là, 35 000 communes et clochers, au creux de la main et ses réseaux capillaires

     

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  • #862370
    Le 18 juin 2014 à 10:09 par aty
    À quoi servent les villes ?

    Les villes sont un instrument de contrôle du pouvoir ; Sans argent il est quasi impossible de vivre en ville. En plus les citadins sont toujours enfermés et entassés : dans leur appart, dans les transports en commun, dans leurs bureaux, dans les centres commerciaux. Ainsi l’énergie propre à chaque individu est absorbé, volé, par le pouvoir au détriment de l’énergie factice artificielle nommée l’argent. Et l’argent devient l’objet de lutte entre tous les citadins. Le citadin est le plus parfait des esclaves : son lien avec la nature, avec la vie même est rompu.Il en est de même de ceux qui vivent "à la campagne" et s’enferment devant leur télé ou leur PC.
    Quittez les villes avant le grand effondrement.

     

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  • #862375
    Le 18 juin 2014 à 10:14 par Soleil2vie
    À quoi servent les villes ?

    Désespérant de bêtise et drôlement arrogant ! Mais bon parfois je pense à "la ville immense et inutile" ou bien encore "en ville tout me dit l’homme" ou à Céline qui ne pouvait pas supporter la campagne avec ces routes qui n’en finissent pas.Tout voir sous le prisme économique c’est ravaler l’esprit humain au niveau strictement matériel, c’est proprement désespérant. Soyons sérieux, la cité : c’est la civilisation !

     

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    • #862492
      Le Juin 2014 à 12:42 par Orcinus Orca
      À quoi servent les villes ?

      Merci, ça rassure

       
    • #884317
      Le Juillet 2014 à 22:47 par dav
      À quoi servent les villes ?

      et la civilisation ca finit par l’effondrement

      c’est pas ininteressant de voir les choses comme ca

      dans un societe de services desindustrialisée il est vrai que tout ca n’a plus de sens

      je n’ai pas foutu le pied dans un centre ville depuis que j’ai quitté paris a l’age de 6 ans

      j’habitait bien une "petite" ville en irlande mais a taille humaine...moins de 60 000 habitants

      et comme je ne sors jamais c’etait surtout pour faire les courses sans prendre ma moto

      donc en plein milieu de la creuve tant qu’y a internet ca ne changerait rien pour moi me suis-je dit recemment

       
  • #862409
    Le 18 juin 2014 à 10:57 par Erdoval
    À quoi servent les villes ?

    Cet article est intéressant surtout si on le replace dans le "débat" actuel sur la régionalisation. Il apparaît que les profits sont liés au développement des échanges et de la ville. Tout le système économique repose sur des flux et ce qu’on désigne par développement économique est bien souvent un développement des échanges, donc des flux, plus que la production des richesses elles-mêmes. Et ce sont les flux monétaires qui rendent compte de ces flux et surtout qui permettent de réaliser les profits. Donc la modification de la répartition des populations et le développement du modèle urbain sont à la base du développement des échanges, condition de l’augmentation des profits, de la création de grands marchés dans lesquels producteurs et consommateurs s’agitent pour le profit monétaire de ceux qui contrôlent les échanges. Et évidemment dans des conditions de vie stressantes et instables finalement peu enviables pour les gens qui travaillent pour vivre. La ville est qualitativement plus intéressante pour ceux qui vivent de leurs rentes(si elles sont à un niveau suffisant) ou surtout pour ceux qui travaillent pour faire du profit et l’accumuler pour encore améliorer leur pouvoir d’exploiter le plus grand nombre. Au bout du compte la dynamique d’urbanisation accélérée du XXème siècle est le signe du libéralisme effréné et de ses effets catastrophiques sur le plan humain et environnemental. On comprend ainsi les raisons de l’abandon d’une politique d’aménagement équilibré du territoire et la volonté exprimée à travers le projet de réforme territoriale de création de mégapoles régionales : c’est pas la qualité de vie des populations qui est recherchée, c’est celle de l’augmentation des profits. Ce n’est pas pour faire des économies mais bien pour augmenter les échanges donc les flux monétaires et les profits qui vont avec. Réforme structurelle de type libéral s’il en est ! Et cela à l’origine au nom du socialisme. Vaste escroquerie !

     

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  • #862464
    Le 18 juin 2014 à 12:12 par Squalospinax
    À quoi servent les villes ?

    Parlons peu, parlons bien en se basant sur des faits, du bon sens et en évitant les idéologies.

    L’homme appartient aux sociétés animales et, comme elles, développe des interactions avec le milieu de vie ou biotope, interactions incluant également les relations entres les individus de la population considérée

    En se basant sur des données paléoanthropologues, archéologiques, historiques et ethnologiques on remarque que l’état d’équilibre naturel (j’insiste sur le mot "naturel") est ce que l’on peut nommer le groupe, le clan, la tribu...bref, le village et non la ville.

    La ville n’est pas notre milieu de vie naturel et optimal. Elle brise les interactions entre individus (tout ou partie de ce que les structuralistes nomment "l’intersubjectivité"), cause de la montée des individualités, de l’individualisme. Elle s’oppose à la diversité et au partage des tâches en vue de réaliser un projet commun et de fait crée la compétition, les conflits, les inégalités. Elle détruit l’équilibre fragile entre l’exploitation raisonnée des ressources naturelles et la consommation.

    Nous, comme toutes les sociétés animales, voyons nos comportements fondamentaux pervertis car nous ne vivons plus dans notre optimum naturel. On pourrait nommer cet état "état de stress" comme ceux observés chez les animaux en captivité.
    Dès lors toutes les études et observations sur ce qu’est l’humanité sont fausses car basées sur des comportements maladifs et anti naturels.

    Tout ceci peut et doit être développé et argumenté, évidemment, mais la petite fenêtre d’expression offerte par E&R ne s’y prête guère.

    En définitive les villes servent, plutôt idéalement, pourraient servir comme source de matières premières (roches, verre, métaux) à une humanité qui aurait la sagesse de retrouver sa vie naturelle, une forme de ruralité hightech à penser. Tout pourrait ainsi se rééquilibrer.

    L’origine et le pourquoi des villes ?
    Ça, c’est une autre histoire faisant intervenir, sédentarisation, commerce et argent...

     

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  • #862530
    Le 18 juin 2014 à 13:20 par LEPAGE
    À quoi servent les villes ?

    Fondamentalement, une civilisation basée sur l’urbanité est prédatrice. le monde rural crée une production alimentaire, et le nécessaire pour se vêtir.. Cependant avec le développement industriel, un monde technologique s’est développé pour vendre tout un éventail de produits inutiles pour beaucoup. création d’une consommation pour elle même. asservissement des masses. Les villes sont devenues un système qui nous échappe, doté d’une logique évidente en soi mais conduisant à la catastrophe à terme. Certains pays connaissent une croissance urbaine folle (les Philippines), mais laisse le reste littéralement à l’abandon. c’est étrange, cela me laisse pantois. On comprend alors pourquoi il y a tant de difficultés pour accéder à des sites ravagés par un tremblement de terre par exemple, ou bien combien il est prblématique de voyager.

     

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    • #862642
      Le Juin 2014 à 15:09 par Squalospinax
      À quoi servent les villes ?

      Yeap, entièrement d’accord :)

      On pourrait presque schématiser le truc en faisant trois tas :

      1- le sol, les campagnes, les terroirs, les milieux naturels...que l’on rend exsangues et stériles à la longue

      2- la ville où tout converge, où tout s’entasse

      3- et les "ailleurs" ou "dessous de tapis" où se déversent tous les déchets dont la ville ne veut plus (décharges, régions et même pays...)

      Donc un trou béant de rien en "1" et un tas de merdes en "3" et dont la cause est en "2"
      (j’ai même vu des cas où "1" était comblé par "3" !!!)

       
  • #862942
    Le 18 juin 2014 à 19:58 par dav
    À quoi servent les villes ?

    Que de trucs qui servent à rien en ville, tenez Pole-Emploi ça sert à rien et que d’économies si ça disparaissait et les charges dues à la rémunération des agents !

    Je viens de recevoir de leur part :
    une proposition d’offre d’emploi dont l’origine est un employeur qui m’a licencié y a 10 ans !
    (non renouvellement de période d’essai

    et pour des compétences que j’ai si peu et que je ne souhaite pas développer.

    Et dans le papier ça à l’air procédural et menaçant de répondre à cette annonce.
    Je peux me dispenser de ce calvaire et continuer à toucher le chômage ?

    ps : ils ont mon cv normalement

     

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  • #862972
    Le 18 juin 2014 à 20:13 par jean mineur
    À quoi servent les villes ?

    [...] Le problème principal est que la plupart des gens encore employés, notamment dans les grandes villes le sont par des emplois, au fond, aussi totalement inutiles que superflus, voir nuisibles. Ils se traduisent par un déficit commercial élevé, révélateur d’une absence totale d’utilité.

    Une partie de l’article est contestable , mais ce qui est dit ci-dessus beaucoup moins . certes shématisé mais je pense vrai . et je rajoute que le coût de ce phénomène s’inscrivant dans le processus d’implosion qui nous pend au nez , deviendra insupportable donc caduc et obsolète .

    L’étape suivante sera ...dévastatrice !

     

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  • #863157
    Le 18 juin 2014 à 23:03 par François
    À quoi servent les villes ?

    - La concentration massive de population pose des problèmes non seulement d’ordre hygiéniques (déchets/eaux usées/pollution) mais aussi des problèmes sociaux liés à la trop grande proximité (individualisme exacerbé/narcissisme/sexualisation des comportements...) causant immanquablement la destruction du lien social, bien plus que dans les campagnes.
    - Alimenter une grande métropole en nourriture nécessite une logistique importante, et coûteuse. Cela se répercute dans les prix.
    - Si l’on veut se passer totalement de l’automobile, On ne peut sortir (facilement) de la ville.Tous les voyages possibles se font alors de ville à ville (Train/Avion). Si vous vivez dans une grande métropole, il faut au moins faire 20-30 km en vélo dans la pollution et les risques d’accidents avant d’accéder à la campagne.
    - Les emplois créés dans les villes ne sont pas productifs : Entreprises de services tertiaires à des entreprises de capitalisation (Assurances/banques/Immobilier), Entreprise d’audit de ces dernières, Entreprise de gestions etc... Tout marche en huis-clos
    - Chômage sous-jacent : Les postes de cadres ou d’employés dans le tertiaire sont réservés aux "déclassés" des classes moyennes et de la petite bourgeoisie, la classe populaire alterne entre petit boulot et pôle-emploi.
    - Politique des grands travaux pour transformer les villes en vitrine, privatisation de quartier, corruption...

    Franchement, je pense que des villes de 10000 à 50000 habitants sont des modèles viables pour l’avenir mais pas des métropoles de plus de 1 million d’habitants. Dans une petite ville, les problématiques de transports, d’espace pour les logements, la logistique en nourriture et en marchandises sont nettement plus simple à régler. Ces villes sont assez diffuses sur le territoire français pour permettre de les mettre en réseau et de re-développer une industrie en chacune d’entre-elles.

     

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  • #863193
    Le 18 juin 2014 à 23:41 par Martin
    À quoi servent les villes ?

    Salutations cher(e)s dissident(e)s.

    A quoi servent les villes ?

    A chaud, nous sommes tentez de dire : à rien.

    Et bien, aussi loin que l’on puisse remonter dans l’histoire sociale de masse des hommes ; disons depuis le mésolithique ; toutes les civilisations s’étant succédées se sont toutes et sans exception articulées autour de la cité-Etat et sa centralisation des pouvoirs et autorités. Amenant fatalement à la concentralisation des vanités et avidités, mères des synarchies et oligarchies les plus viles, adjutantes à la création d’agglomérats d’ilotismes périphériques, ceux-ci ayant quitté progressivement leurs tribalismes séculaires en vu du mieux... "Mieux", qui rappelons-le est l’ennemi du bien. Ainsi et fatalement, dans ces conditions humaines de crypto promiscuité vectorisant le grégarisme, la déliquescence n’est qu’inéluctable. C’est le principe du synoecisme, l’illusion au long terme de la prospérité pour les uns ou les autres et/ou de la puissance pour les autres ou les uns, puis la chute. L’abberration par excellence.
    A cet égard, les berbères et les celtes avaient le meilleur modèle sociologique "millénarisé" du bassin méditerranéen ; en fonction de leurs biotopes respectifs ; jusqu’à l’avènement du premier Empire romain.

    Donc, à quoi servent les villes, ou plutôt "La Ville" ? A nous auto-détruire les uns les autres de manière subtile et à longue échéance. Donc, c’est malhonnête par dessus le marché ! Se trucider toutes et tous, et tout de suite, serait paradoxalement plus honnête.
    Sous cet aspect des choses, cela explique qu’un des plus brillants penseur de notre séquence historique (si ce n’est le plus grand parmi les grands) prônait qu’il faille que nous nous aimions impérativement les uns les autres... sous-entendu avant qu’il ne soit trop tard.

    Par ailleurs, n’oublions pas que ce que nous nommons la "Civilisation" n’a pas plus de douze mille ans d’existence sur le millions et demi présupposé de règne d’homo sapiens. Cette configuration organisationnelle sociologique humaine est somme toute très récente et sûrement passagère. Le tir est plus que rectifiable, et nous allons le rectifier. Ce sera la plus grande révolution humaine depuis les contingences préhistoriques liées à la découverte du feu jusqu’à sa domestication en vu de necessité, en en supplantant bien sûr ainsi sa peur.

    Cordialement.

     

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    • #877644
      Le Juin 2014 à 12:51 par David
      À quoi servent les villes ?

      « A cet égard, les berbères et les celtes avaient le meilleur modèle sociologique "millénarisé" du bassin méditerranéen ; en fonction de leurs biotopes respectifs ; jusqu’à l’avènement du premier Empire romain. »

      Sans compter je dirais le modèle de communiste primitif du moyen-age, qui ferait baver de jalousie un Chouard. Les gas nommaient et révoquaient pas mal de types.

      Je me souviendrais toujours de mon grand père qui n’a jamais voulu descendre de ces Cévennes pour aller à Lyon, ne serait que pour s’y soigner.
      Pour lui la ville c’est la guerre, l’enrôlement, "Le jour de gloire" à la Dieudo 1905, se faire trucider pour autres choses.

      Drac dans crise éco ou crise de sens fait de bonnes analyses sur l’empire en reprenant les réprésentations à la Howard et son cerveau globale.
      Empire fondé sur le matériel ou y est et un matériel virtualisé comme le capital, à bout ?
      L’Histoire veux que ça aille en se complexifiant, qu’est ce qu’on peut faire de pire ?
      Dans un empire basé sur du plus sain comme la tradition, il y aurait guère de villes :
      Jérusalem, La Mecque, Rome et quelques capitales de provinces moins balaises.

       
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