Même sans la "politique vaccinale expérimentale", la natalité aurait chuté pour 3 raisons :
D’une part le déficit démographique existait en germe dès la loi Veill sur l’avortement du 17 janvier 1975 (date anniversaire de la condamnation de Louis XVI) puisque pratiquement depuis cette date 250 000 naissances manquent à l’appel chaque année : nous devrions être 12 000 000 de plus.
D’autre part et par voie de conséquence, la population a constamment vieilli depuis cette date, et ceux qui étaient en âge d’être parents en 1974 sont aujourd’hui en âge de mourir sans avoir ou insuffisamment remplacé dans le temps de leur vie reproductive leur propre génération.
Enfin et de troisième part, le facteur idéologique est en sciences humaines le facteur prépondérant bien avant la cause démographique ou médicale correspondant à l’andropause et à la ménopause des populations. Ce facteur idéologique c’est l’idéologie malthusienne : ne pas se reproduire, si ce n’est pas bien en soi pour les autres, c’est mieux pour soi que de se reproduire.
Le malthusianisme est une maladie typique du paganisme antique ; c’est cette maladie mentale qui a tué Rome bien plus et bien avant les invasions barbares. Elle n’a d’ailleurs pas tué que Rome ; car depuis toujours, partout où il a sévi, il a détruit la civilisation qui l’avait adopté. Ainsi, les Lumières et la Révolution française étant typiquement une révolution neo paienne, sa maladie du malthusianisme a pareillement asséché la démographie française depuis 1800 et continue de l’assécher depuis cette date.
D’ailleurs les chiffres parlent d’aux-mêmes : pendant qu’on accuse la vaccination d’un déficit de 1000 naissances soupçonnées, l’avortement de masse qui est l’expression du malthusianisme après le coit, en fait 250 000 parfaitement comptabilisés.
Il faut donc s’interroger avec honnêteté et courage sur la cause idéologique de la maladie mentale de Malthus.
Or, cette cause est la même à Rome, Tokyo (qui souffre du même trouble) ou dans la République depuis 250 ans en France : l’antichristianisme.
Conséquence du matérialisme paien.
En définitive ce qu’il y a de bien avec les malades mentaux, c’est qu’ils ne se reproduisent pas.
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