Donc pour faire taire une fois pour toute les abrutis qui viennent nous parler d’hormone, alors que les hormones sexuelles ne jouent aucun rôle dans le choix de l’objet sexuel chez l’être humain (parce qu’il a un néocortex frontal donc accès à la fonction symbolique), on rappelle que :
homosexualité (masculine) = petit garçon hypersensible (qui n’est pas la sensiblerie, cf infra) + père absent/démissionnaire/déficient + mère fusionnelle (abusive) + contexte familiale narcissique (c’est à dire où l’enfant n’existe que pour combler les besoins affectifs de ses parents, jamais vraiment pour lui même). Les quatre facteurs sont nécessaires.
Facteurs aggravants mais non déclencheurs : abus sexuels lors de l’enfance ou exposition précoce à la pornographie (pas l’érotisme).
Concernant l’hypersensibilité, on se réfèrera aux travaux du Dr Elaine Aron, et on gardera à l’esprit la surreprésentation des homos dans les métiers artistiques concernant ce point. Pour le reste on pourra se référer aux travaux -en anglais uniquement- de feu le Dr Joseph Nicolosi.
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