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1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

Un sujet du JT de 20H diffusé sur l’ORTF le 25 août 1964.

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38 Commentaires

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  • #3002856
    Le 2 août 2022 à 15:41 par JL29
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    Au temps 1:51 on peut voir l’enseigne d’une boutique de ressemelages, essayez de trouver ça de nos jours.. oui, on réparait les chaussures à l’époque car on pensait à juste titre que la qualité du cuir des souliers méritait qu’on lui assurât une longévité honorable.
    Je me suis éloigné du sujet initial, c’est vrai mais le sujet affiché ne m’intéressait pas plus que ça, de toute façon on peut parfaitement vivre sans femmes, vacances ou pas, ce qui ne veut pas dire que l’on peut s’en passer, évidemment !

     

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  • #3002866
    Le 2 août 2022 à 15:46 par zéro pointé
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    La femme qui part au mois d’août pendant que monsieur travaille... c’est le fameux patriarcat blanc dont les féministes les ont émancipées, c’est bien ça ?
    Ok j’ai compris
    Quelle avancée pour la femme

     

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    • #3003348
      Le Août 2022 à 13:33 par rougette
      1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

      Je me suis fait la même réflexion mais il s’agit de Paris si j’en crois l’accent ! Ceci dit mes parents nés en 23/24 ont toujours pris leurs vacances ensemble et tous les deux travaillaient. Moi j’était endormie sur la banquette arrière de la 404 tandis que nous roulions vers le Midi pour trois semaines d’intense tranquillité. Que de jolis souvenirs. Sniff...

       
  • #3003050
    Le 2 août 2022 à 21:52 par Aiguiseur de guillotines
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    Je fais partie de ces hommes qui ont la chance d’avoir une femme qui va visiter sa mère 3 fois par ans :-)
    C’est le pied...
    Non, je ne vais pas tremper mon biscuit au bordel.
    Je savoure le calme, les potes, les aperos, les balades en solitaire et surtout... LE SILENCE.

     

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  • #3003102
    Le 3 août 2022 à 05:19 par adile11
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    Ce que je remarque tout de suite c’est l’habillement et le maintien des gens de ce temps révolu . Quelle chute en quelques décennies ! Au mois d’Août aujourd’hui ? Horrible !!! plus que des tatoués en bermuda fripés et des femmes qui n’ont qu’une envie c’est d’attendre que la mode leur dise de se promener en petite culotte pour obtempérer ....quelle déchéance ! Dignité zéro ! Et je ne dirai rien des gros boudins qui fiers de leur 50 kg de trop n’ont même pas honte de se promener en short . J’arrête j’ai envie de gerber !

     

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  • #3003104
    Le 3 août 2022 à 05:26 par Kal
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    C’est étonnant ce reportage sur si peu de chose.

    Et dire que c’était les trente glorieuses. Inimitable à cette époque, le général De Gaulle, celui qui avait tenu la France debout en 40, parler de la ménagère de 50 ans. On y est en plein...en filigrame !

     

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    • #3003175
      Le Août 2022 à 08:58 par ladko
      1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

      « C’est étonnant ce reportage sur si peu de chose. »

      Non, c’est ce qu’on appelle un marronnier dans le jargon des journaputes.

      S’il n’y avait pas ce type de sujet en été, il n’y aurait pas de journal télé...

       
  • #3003119
    Le 3 août 2022 à 06:24 par Soupe-au-lait
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    Le combat des Femen, Schiappa, Alice Coffin contre l’oppression patriarcale prend de suite tout son sens
    Madame à la plage pendant que monsieur travaille, on saisit totalement les revendications et avancées qu’ont gagnées "Osez Le Féminisme" et toutes les associés
    Muriel Robin doit être heureuse, surtout quand on voit les horribles mecs de la vidéo, ça pue les assassins, féminicideurs en puissance, les égorgeurs et monstres blancs hystériqu, colériques, skyzophrénes , psychopathes , ultra violent et assoiffés de sang

     

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    • #3003319
      Le Août 2022 à 12:30 par Un k@marad
      1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

      Je dirais même pour citer notre grande humaniste remplie d’amour et de grâce sainte Caroline Fouré-e-s
      90% des enfants d’heteros sont des monstres
      J’ajouterai
      On arrive même a 120% chez les fils de mâles blancs catholiques

       
  • #3003147
    Le 3 août 2022 à 07:47 par jean brigitte
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    Ils avaient bien commencé à salir l’image de l’homme.
    Sous couvert d’humour, les mecs qui bossent pendant que leur femme est en vacances (chez maman ou à la plage) passent ici pour des nuls.

    Vingt ans plus tard, je me souviens de mon père qui profitait qu’on n’était pas là pour non seulement bosser la journée mais faire des travaux dans la maison le soir et le WE... Mais après on dit que les femmes ont 2 emplois un payé l’autre pas... La propagande qui a détruit l’image de l’homme a fait beaucoup de mal...

     

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  • #3003169
    Le 3 août 2022 à 08:44 par Sev
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    Comme très souvent, les docus sur la France d’avant le grand lessivage euroricain et wokisme sont implacables quant à la réalité de la tenue qu’avait l’homme ordinaire. Ça fait un peu mal au cœur de constater l’ampleur de l’avachissement général et de l’effondrement qui va avec...

    Sur le plan homme / femme, au moins on sent une bonne dose d’humour ! le même reportage aujourd’hui rendrait hystériques les frustrées néoféministes qu’avait si bien décrit la regrettée Claire Brétécher...

    Il faut aussi que les hommes n’oublient pas que lorsque les femmes prennent un temps pour elles seules (vacance ou autre séjour nécessitant séparation ponctuelle), elles ressentent souvent le même sentiment de soulagement.

    L’homme du quotidien est tout aussi usant et gonflant que la femme. C’est d’ailleurs tout ce qui fait le charme de l’altérité et qui, précisément, exige de l’un et de l’autre l’apprentissage de la complémentarité, du partage adapté des tâches, de l’acceptation des différences de vision des choses et du monde.

    Notre ennemi n’est ni l’homme ni la femme, mais... celui ou celle qui entend faire des deux une bouillie beigne infâme flottant au gré des activités ubérisées et du grand divertissement crétinisant. Ne nous trompons pas non plus de bataille mes ami(e)s !

     

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  • #3003204
    Le 3 août 2022 à 09:39 par Dream13
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    Chaque année nous prenions nos vacances dans ma famille qui a la chance d’habiter au bord de mer, et comme mon mari n’avait pas deux mois de vacances, c’est vrai que nous préférions laisser profiter les enfants le maximum, on se telephonait tous les soirs et nous étions très heureux de nous retrouver, femme au foyer ce n’est pas pour autant que je n’avais rien à faire, c’est en quelque sorte le partage des tâches à l’ancienne, c’était notre choix de couple, de vie, et c’était super, voilà , les gens heureux n’ont pas d’histoire, n’en déplaise à certains !

     

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  • #3003391
    Le 3 août 2022 à 14:38 par Un k@marad
    1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

    Nous on a changé les règles à la maison, quand on a vu ce reportage, en terme d’égalité homme/femme, avec mon épouse... comme ça fait plus de 15 piges que l’on est ensemble et qu’elle n’a jamais rien foutue,si ce n’est femme au foyer et que c’est toujours moi qui ait payé, crédit, facture, impôt, travaux et écoles des enfants...par souci d’égalité, maintenant et pendant les 15 prochaine année, c’est moi qui vais partir en vacances, l’été à la mer, l’hiver au ski,faire des curés thermale en automne, et de l’aquagym au printemps, pour pouvoir enfiler mes petites tenues de bains à la plage,et elle me payera l’épilation du maillot
    Ma femme et moi sommes très a cheval sur l’égalité homme femme
    D’ailleurs c’est elle qui fait le cheval et moi qui la monte
    Vive l’égalité

     

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    • #3003740
      Le Août 2022 à 06:07 par Spermaculture
      1964 : être sans sa femme à Paris au mois d’août

      Je crois que quand ils parlent d’égalité hommes femmes, c’est pas ça qu’ils sous-entendent
      Je crois que c’est plus
      Le jour où tu auras des nichons et ta femme une grosse paire de couilles
      Mais je peux me tromper

       
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