Johan Livernette sur le meurtre du père
7 décembre 2011 02:03, par YannickEt la spiritualité, dans tout ça ? Elle est où ?
Il y a sans aucun doute beaucoup d’information intéressantes dans le dernier livre de Johan Livernette. Et je suppose que malgré l’opposition qu’il fait entre la franc-maçonnerie, les sociétés secrètes et financières d’un coté et le christianisme de l’autre, il ne défend pas l’Eglise de Rome pour autant vu son état de décrépitude et d’abaissement actuelle. Pourtant, tout porte à faire penser qu’il oppose bien l’église à la franc maçonnerie, soit Dieu à son soit-disant opposé qu’il nomme Lucifer ?
Mais qui est Lucifer !?!?
Johan Livernette sait-il que dans les premiers temps du christianisme, Lucifer (le porteur de lumière) est le nom attribué à Jésus et que c’est l’Eglise, plus tard, qui a donné une valeur négative à ce personnage en l’associant à Satan et en l’indifférenciant de ce dernier ?
Il y a quelques livres traitant d’assyriologie, ou se référant au travailles de ces archéologues, qui démontrent que le premier testament est inspiré de textes sumériens qui ont été retrouvés sur des tablettes en Mésopotamie, l’Enuma Elish. Tout comme il est aussi démontré dans certains ouvrages que le Nouveau Testament est inspiré de l’histoire des "personnages divins" de l’Egypte, soit Osiris, Isis, Horus opposé à Seth, ces personnages étant respectivement Enki, Sé’et, ___ opposé à Satam. Le grand Satam de le "mythologie" sumérienne étant le Satan biblique, la représentation du diable des chrétiens.
Et si ces personnages n’étaient pas mythologique mais avaient réellement existé ? Et si l’Enuma Elish nous racontait de manière poétique la véritable histoire des débuts de l’humanité et les "mythes" égyptiens une autre partie de notre histoire ?
Je vois dans Wikipédia que le mot révolution nous vient du mot latin revolvere qui veut dire rouler en arrière. Je nous vois bien rouler en arrière la queue et les burnes entre les jambes en suivant Johan Livernette.
N’aurions nous pas besoin d’une révélation plutôt que d’une révolution ?
2012, c’est l’Apocalypse, non ?
Ne devrions nous pas tendre à voir plus disctinctement aussi bien dans l’ombre que dans la lumière et pas chercher à faire des roulades ? En arrière qui plus est.
Heureusement que l’humanité n’est pas seule, heureusement qu’il y a les divinités plus près que nous de la lumière tout comme il y a des faux dieux cachés dans l’ombre puisque nous avons aussi besoin d’une part d’ombre pour évoluer.