Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales
25 novembre 2015 20:21, par kasiarJe vois que rien n’a changé, les femmes sont toujours présentées comme des pauvres petites biches incapables de se défendre, à travers une anecdote somme-toute indiscutable sur la nature animal de certains hommes.
Mais il y a autant de cas de figure qu’il n’ y a de couples. Nous présente t on les hommes dans le même cas que cette femme, qui sont pourtant plus nombreux qu’on voudrait nous le faire croire - sinon le nier ?
Étant en couple et pourtant m’efforçant d’être le plus respectueux possible avec mon épouse, je peux dire que les femmes aiment pousser le mari à la violence, si l’homme ne cède pas, il finit par un cercle vicieux bien souvent d’ordre psychique, et peut vite dériver à une violence physique. Heureusement ma situation s’est amélioré grace à Dieu et à des personnes proches et humaines et que mon épouse est au fond une bonne personne et que je sois bien entouré. Je pense que dans une situation différente, je subirais également la pression sociale que subissent bien des hommes. Comme si l’homme possédait en lui les germes de la culpabilité, et la femme celle de l’innocence, voilà bien un paradoxe à une époque qui pourtant fait tout pour effacer les différences entre les sexes !
Bref, attention à l’extrapolation qui est faite insidieusement par les médias sur la nature "violente" de l’homme. Car pour une journalope ou un politique ou une association et ses corollaires : violence conjugale = homme violent/femme victime = les hommes tous des pourris même si la femme a le dessus dans la dispute, même si la femme a commencé à lever la main en premier.
Bref comme pour bien d’autres sujets, l’amalgame ne nous grandit pas, bien au contraire, il conforte la tension entre des protagonistes désignés arbitrairement
Le système et ses valets ont parfaitement remplis leur mission CQFD