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Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

La Journée du terrorisme domestique

« Dans trois heures, je te défonce ». Le compte à rebours commence avant que Morgane soit rouée de coups par son compagnon, pour un œuf mal préparé, du ménage mal fait ou un regard jeté à un autre homme.

 

Cet enfer, Morgane Seliman, 32 ans, l’a vécu pendant quatre ans avant de quitter cet homme brutal, témoigne-t-elle à quelques jours du 25 novembre, dédié chaque année à la lutte contre les violences faites aux femmes.

« J’étais retenue par la peur des représailles, notamment sur ma famille, et l’espoir qu’il change. La peur, ça rend bête », dit-elle à l’AFP.

Aujourd’hui installée en Seine-Maritime, elle raconte son histoire dans un livre paru en octobre aux éditions XO Document, Il m’a volé ma vie.

Quand elle rencontre Y., Morgane est impressionnée par son assurance et sa détermination à la séduire. Les deux premières années de vie commune, en région parisienne, sont émaillées de disputes parfois violentes, mais elle se persuade qu’il ne s’agit que de « petites crises ».

C’est pendant sa grossesse que les violences s’accroissent. « Du jour où j’ai été enceinte, je n’ai plus répondu et je me suis protégée. Les choses ont basculé. Il frappait partout sauf le ventre. »

Suivront plusieurs années où elle vit totalement sous l’emprise de son compagnon, d’autant plus qu’elle a arrêté de travailler et s’est coupée de sa famille et de ses amis.

Il en fait son esclave domestique et la frappe à la moindre contrariété, dans un premier temps jamais devant leur fils. D’où les effrayants comptes à rebours, en attendant que le petit soit couché. Et pourtant, elle continue d’encaisser la violence et « l’humiliation permanente ».

Lire la suite de l’article sur fr.news.yahoo.com

Un autre visage du féminisme, sur E&R :

 






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21 Commentaires

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  • #1329900
    Le 25 novembre 2015 à 10:59 par gelindo
    Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

    On a capter le message : la condition féminine en France ou en Belgique serait pire qu’en Afghanistan.

    A quand ce genre de bouquin écrit par un homme ? Je ne crois pas que ça intéresserait grand monde.

    Gelindo, le congo-belge

     

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    • #1330323

      Bonjour Gelindo,

      J’adhère à ton analyse sur le but caché de ce type d’articles. Cela dit, si un homme finissait par sortir son expérience de la violence conjugale, hormis la réception froide des journalistes axés sur le sexe dit "faible", ca viendrait toujours nourrir l’opposition homme/femme. Or il y a des enfoirés dans tous les groupes. Ce qui compte réellement c’est de rappeler la complémentarité naturelle et vitale homme/femme pour que l’humanité existe. Ce qui compte c’est de reprendre conscience de notre co-dépendance. Les violents envers leurs femmes, tout comme les féministes fanatiques ou ecervellées, sont avant tout les ennemis de la civilisation.

      Bien qu’on nous les présente comme des camps opposés ils sont les deux battants d’une même porte ouvrant sur la sauvagerie. Gardons nous de rentrer dans leur jeu et élevons le débat.

       
    • #1330329

      D’un point de vue de la société, l’inverse n’existe pas et la manipulation/pression psychologique non plus. Seule la femme est une victime éternelle.

       
  • #1329921
    Le 25 novembre 2015 à 11:30 par Jean-registre
    Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

    Ah bah voilà ! Tu voulais un bad boy sans cervelle maintenant t’assumes... et pourquoi sortir un livre ? Les français en ont strictement rien à foutre.

     

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    • #1330344
      Le Novembre 2015 à 17:54 par Castanietzsche
      Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

      La classe sociale où les hommes sont à la fois gentlemen et dotés d’une certaine virilité intellectuelle est très mince en fin de compte. Au bas de l’échelle, rare sont les hommes courtois et en haut rares sont ceux qui ne sont pas pleutres.
      Je comprends que le système dans lequel nous vivons fasse plus de tarés que d’honnêtes gens

       
    • #1330383

      On est bien d ’accord, ce mec est une ordure, mais il faut être honnête , certain de nos compatriotes le plus souvent des " Charlie " d’ailleurs, avec leur tête de c— et leur air fragile de fils a papa, je conçoit que ça fasse pas rêver les nanas.

       
    • #1330634

      @Castanietzsche

      "Au bas de l’échelle, rare sont les hommes courtois"
      Peut-être parce qu’au bas de l’échelle, rares sont les femmes qui respectent les hommes courtois.

       
    • #1332713

      Je plussoie aux 2 premiers commentaires.

      Il est toujours étonnant de voir pas mal de femmes se cogner (sans mauvais jeu de mot) dans les relations stupides :

      - celles qui pleurent en s’accrochant aux basque d’un mec qui les largue sans aucune pitié.
      - celles qui se font traiter comme de la merde, sans forcément être battue, mais ça peut arriver et que ce n’est pas rare, par leur mec et qui...restent avec lui envers et contre tout.
      - celles qui adulent la rock-star qui va de relation pathétique en relation pathétique au rythme des parutions du dernier paris-match...et qui râlent après d’avoir été trompé par leur mec, alors qu’à la base, elle vénérait un salaud.

      Et à côté de ça des légions d’hommes célibataires, que la pub nous fait passer pour des célibattants, alors que bien souvent ils finissent comme célibattus, surtout à l’approche du grand âge, moyennement virils, moyennement fiottes, moyennement doués pour faire la cuisine, moyennement coureurs de jupon près à tromper leur copine avec la première venue (franchement, quand tu peines à te trouver quelqu’un, je comprends pas pourquoi tu la trompes) : si les filles se mettent en couple avec des mecs qui finissent par les tromper, voir par les battre, ne serait-ce pas, précisément, parce que c’était ce genre de fougue très exagérément masculine qui leur plaisait au départ ?

      - Les mâles alpha disposent d’un plus grand choix en matière de partenaires ; problèmes pour ces dernières, ils sont aussi souvent violents ou infidèles.
      - Les "gentils", qui se comporteraient loyalement avec leur femme semblent avoir beaucoup moins de succès.
      - Au milieu vous avez les hommes qui ont "une situation" : à ce moment-là, ce n’est pas tant l’homme en lui-même qui est recherché par la femme que son compte-en-banque...dès qu’il est mis au chômage, Hop ! Madame repart chez sa mère avec les enfants et la moitié du mobilier.

      Et à toutes celles qui répondront que ce que je viens de dire là est un propos de "misogyne aigri", soyez honnêtes & posez vous d’abord cette question : "Seriez-vous encore en couple avec votre mec s’il devenait sans-emploi et sans salaire du jour au lendemain ? L’auriez-vous épousé s’il avait été un sdf ou un chômeur vivant au RSA ?"

       
  • #1330158
    Le 25 novembre 2015 à 14:56 par Fredrik
    Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

    Y. pour Younès ?
    CQFD

     

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  • #1330327

    Je m’amuse déjà à l’idée de la retrouver sur le plateau de "ONPC" ou elle sera chouchouté par lea salame qui pour l’occasion n’ira pas demander "mais pourquoi vous écrivez un livre" comme elle le fait régulièrement avec certains invités alors que soyons franc : tout le monde s’en cogne de son récit et de ses choix hasardeux.

    Comme l’a dit un autre commentaire, tu voulais le bad boy qui assure au lieu d’un "pauvre type gentil" comme il en existe des millions et qui sont célibataires ? C’est ton problème.

     

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  • #1330560

    Je vois que rien n’a changé, les femmes sont toujours présentées comme des pauvres petites biches incapables de se défendre, à travers une anecdote somme-toute indiscutable sur la nature animal de certains hommes.
    Mais il y a autant de cas de figure qu’il n’ y a de couples. Nous présente t on les hommes dans le même cas que cette femme, qui sont pourtant plus nombreux qu’on voudrait nous le faire croire - sinon le nier ?
    Étant en couple et pourtant m’efforçant d’être le plus respectueux possible avec mon épouse, je peux dire que les femmes aiment pousser le mari à la violence, si l’homme ne cède pas, il finit par un cercle vicieux bien souvent d’ordre psychique, et peut vite dériver à une violence physique. Heureusement ma situation s’est amélioré grace à Dieu et à des personnes proches et humaines et que mon épouse est au fond une bonne personne et que je sois bien entouré. Je pense que dans une situation différente, je subirais également la pression sociale que subissent bien des hommes. Comme si l’homme possédait en lui les germes de la culpabilité, et la femme celle de l’innocence, voilà bien un paradoxe à une époque qui pourtant fait tout pour effacer les différences entre les sexes !
    Bref, attention à l’extrapolation qui est faite insidieusement par les médias sur la nature "violente" de l’homme. Car pour une journalope ou un politique ou une association et ses corollaires : violence conjugale = homme violent/femme victime = les hommes tous des pourris même si la femme a le dessus dans la dispute, même si la femme a commencé à lever la main en premier.
    Bref comme pour bien d’autres sujets, l’amalgame ne nous grandit pas, bien au contraire, il conforte la tension entre des protagonistes désignés arbitrairement
    Le système et ses valets ont parfaitement remplis leur mission CQFD

     

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  • #1330937
    Le 26 novembre 2015 à 00:56 par goy pride
    Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

    Et s’il fallait compter tous les mecs qui se sont fait voler des années de leur vie par une pouf’ on ne serait pas sorti de l’auberge !

     

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    • #1331544

      Exact. Là, on n’est plus dans la violence physique mais mentale. On ne compte les femmes qui sont tombées enceintes "par inadvertance", grossissent comme des montgolfières une fois que la vie en famille commence, deviennent ultra moches et se plaignent d’être cocues. Un paquet de mecs se sont faits avoir par ces infâmes femmes-enfants. Le sort de cette femme battue est pathétique ; personne ne voudrait être à sa place. Mais la vie de certains hommes, "bonnes poires", l’est tout autant.

       
    • #1331648

      Moi par exemple. Et encore je m’estime heureux quand j’entends ce que d’autres ont subi !

       
  • #1331439
    Le 26 novembre 2015 à 14:47 par listener
    Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

    Dans FranceInfo TV du 25/11/15 :

    « Quand l’île des amantes chavire »… L’article (...) est signé Irène Demczuk, publié sur le site du GIVCL (Groupe d’Intervention en Violence Conjugale chez les Lesbiennes). Il évoque une réalité ignorée de la pensée straight – et occultée par les lesbiennes. Quand l’embarquement pour Cythère se transforme en traversée de l’Achéron, à qui s’adresser ? A ces lignes d’écoute, ouvertes à toutes les femmes, quelle que soit leur orientation sexuelle. Mais peu de lesbiennes, bies (sic), transsexuelles osent décrocher leur téléphone. Par honte. Par peur d’être jugées. Comment imaginer, dans une communauté façonnée par le féminisme, que la violence conjugale ne soit pas l’apanage que du couple hétérosexuel ? Que les « deux amies » puissent devenir les pires ennemies ? Et pourtant, les violences physiques, psychologiques, sexuelles subies par certaines homosexuelles, bies (resic), trans font tout aussi mal… D’autant plus mal qu’elles sont tues. Les dénoncer, c’est s’obliger à sortir du placard, affronter et renforcer le stéréotype lesbophobe que les lesbiennes sont "malades", que leur orientation sexuelle, déviante et malsaine, porte en elle les germes de la violence. Et puis, entre femmes, il y a moyen de se défendre. Les bagarres entre gonzesses, c’est pas bien sérieux, hein ma p’tite dame ?

    En France, les associations/structures de soutien aux lesbiennes, bies (reresic) et trans victimes de violences conjugales sont inexistantes. il y a eu l’association « AIR libre », association d’interventions, de recherches et de lutte contre la violence dans les relations lesbiennes et à l’égard des lesbiennes. La dernière mise à jour de leur site a dix ans. Sinon, il y a l’association AGIR, créée en février 2014, qui a lancé le dispositif "Brisons le tabou" dans l’espoir de visibiliser (sic) et de combattre les violences conjugales au sein des couples de même sexe, passées sous silence aussi bien par les pouvoirs publics, les médias que la communauté LGBT. Selon l’association, 11% des gays et des lesbiennes et 20% des bies déclaraient avoir subi des violences conjugales en 2013. Seulement 3% d’entre eux/elles avaient porté plainte.

    J’ai appelé leur ligne d’écoute, Violences Conjugales LGBT Info Services, au 0 811 69 39 19 : « "Bonjour, après le signal sonore, cet appel vous sera facturé cinq centimes d’euros plus le prix d’un appel normal". Après le troisième signal, j’ai raccroché.

    Sans commentaires.

     

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  • #1333527
    Le 28 novembre 2015 à 21:41 par An Song
    Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

    Je suis vraiment déçue de voir que la plupart des commentaires ici "d’hommes" cherchent plus à défendre le malheur de certaines femmes que de débattre sur cette article avec des arguments potables. Ces commentaires sont la plupart du temps basés uniquement sur votre micro-expérience (déboire avec une nana ? engueulade avec votre épouse ? voisine ayant quitté son mari ? pas de café préparé le matin ?..) que vous extrapolez à toute l’humanité comme si vous étiez Dieu l’Omnipotent. Vos discours transpirent la frustration sexuelle et vous n’hésitez pas à utiliser des préjugés minables comme base argumentaire ! Vous devriez savoir que la nature n’a pas fait l’homme et la femme pour s’opposer mais pour se complémenter. Il n’est donc pas naturel d’avoir des opinions déviants inscrit dans le "conflit des genres" avec un argumentaire basé uniquement sur vos expériences et préjugés. Aller voir en Orient ou en Afrique, beaucoup de femmes vivent avec très peu de moyens et de droits et élèvent des enfants dans cette misère pendant des années avec un courage et une patience que vous n’égalerez jamais. Vos commentaires de "petit enfant gâté" sont plus adaptés à alimenter les arguments des lobbies homo que d’apporter des solutions à une paix en famille. Je vous conseille fortement d’aller vous faire soigner au risque d’être tenté de vouloir évacuer vos frustrations sexuelles par d’autres biais ( notamment dans un certain pays où des tarés se défoulent sur d’innocentes esclaves...).

     

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  • #1336237
    Le 2 décembre 2015 à 20:14 par "Chevalier Lefebvriste"...
    Les années de cauchemar de Morgane, victime de violences conjugales

    Pas de sexe avant mariage,faire la cour à celle dont on veut conquérir le cœur, être un gentilhomme, galant, virile, responsable, être un homme, tout simplement, etc...
    Si tout va mal aujourd’hui, c’est faute au féminisme, à la destruction de la famille traditionnelle, au père tout puissant (cela ne veut pas dire violent, injuste ou méchant) celui sur qui ont peut compter quoi qu’il arrive (le protecteur de la famille), à la destruction de l’éducation Catholique , à la fin du partage, de la charité et de la foi dans les familles, au sexe pour le sexe , au divorce, à l’avortement érigé en modèle, à l’ordre Chrétien, à l’autorité parentale, à l’enfant roi (plus de fessés, plus de punition, plus de politesse, télévision , etc...), au mérite (et non au du), au devoir et non au droit, à la culture du divertissement unique but aujourd’hui (chez les jeunes) drogues, alcool, médicaments, mode, sorti, vacance, etc... à l’ultra-libéralisme (Dans une interview aux Echos, le ministre de l’Economie estime qu’il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires ) , à l’œcuménisme de Vatican II et le modernisme (liberté de culte)



    « Quiconque veut être sauvé doit, avant tout, tenir la foi catholique ...
    s’il ne la garde pas entière et pure, il périra sans aucun doute pour l’éternité. (…)
    Telle est la foi Catholique / si quelqu’un n’y croit pas fidèlement et fermement,il ne pourra être sauvé. »(Symbole de Saint Athanase Quicumque)
    Le serment anti-moderniste de Saint Pie X




    A la fin du travail pour soi et pour les siens (village, communauté, Nation, Église, famille) comme seul revenu (RSA, Alloc, Assistante sociale, etc.. ), à la culture de l’excuse et de la pleurniche, à la nouvelle secte Shoah, qui nous gangrène, nous et nos enfants, à l’homosexualité (et toutes ses dérives ), à la ré-pute-blique, etc...
    Si l’on veut changer, il faut tout changer, tout va mal aujourd’hui, la société et pourrir par le vice, l’argent, les déviances, etc... !
    http://laportelatine.org/bibliotheq...
    https://www.youtube.com/watch?v=mUJ...
    Seul la foi en NS Jésus Christ-Roi et la Sainte Église Catholique, nous sauvera !
    Hors de l’Église point de Salut

     

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