Fin de la prise d’otages à Sydney
16 décembre 2014 12:46, par GloupsIl n’y a que moi qui suis interrogatif sur le besoin de tirer une telle salve pour abattre un seul type entouré d’otages ? En général, ce type d’unité spéciale sont entraînés au tir et à tuer leur cible en un ou deux coups précis. Là on a l’impression d’être dans un film avec Bruce Willis dans le rôle principale.
Autre chose étrange ; la policière qui bien entendu attend la fin de l’assaut pour "chasser" la caméra, une fois que celle-ci a bien tout enregistré. Et elle avance bien tranquillement pendant que sa fusille à tout va derrière elle et en hurlant "get out" ; pas craintive pour un sous la policière dites donc.
En général lors d’une intervention de ce type, tout est verrouillé. Il semble très improbable qu’un cameraman ait pu se faufiler pour se planter en plein milieu d’une rue vidée sans être repéré plus tôt. Imaginez, une rue totalement vide avec un seul mec et tout son attirail de tournage en plein milieu et personne ne le repère avant ! Encore plus étrange, si la zone est interdite, j’aimerais bien savoir pourquoi c’est du même angle qu’on été pris la majorité des images depuis plusieurs jours ? Pour preuve, regardez cette vidéo trouvée sur le site du Monde.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifiqu...
Vous pouvez regarder toutes les vidéos sur cette prise d’otage, c’est toujours la même prise de vue. Donc une rue a été vidé, un cordon de sécurité a été installé, mais les policiers ne remarquent pas les multiples journalistes et caméras filmant la même rue pendant plusieurs jours (ils leurs suffisaient d’allumer la télé) !? Ils n’ont découvert la présence des journalistes qu’à la toute fin de l’assaut et ont décidés de les chasser juste à ce moment ! bien sûre...
Bon je passe ensuite sur les multiples invraisemblances. C’est toujours de la même porte que tout ce passe (pas d’autre accès genre l’entrée principale du café ?), la même porte d’arrière boutique que le preneur d’otage n’a jamais pensé à verrouiller. Pourtant c’est ballot c’était déjà par là d’où s’était tirés tout les otages...
Pas malin le "déséquilibré".