Yasmine, 12 ans, et sa prof, 30 ans : récit d’une passion interdite
30 mai 2013 11:57, par SholSa "note au lecteur" est très intéressante du point de vue de la sophistique :
"Chercher à éclairer ce qui s’est passé entre cette collégienne et cette enseignante, tenter d’expliquer la nature d’une relation, même si la loi la réprime, n’est pas faire l’éloge de la pédophilie."
Mais le faire de manière partiale en présentant le comportement de la prof comme une "danse nuptiale" en lieu et place d’une séduction narcissique : oui
"Ceux qui savent encore lire ne me font pas ce reproche."
Attendez les arguments de l’Autre avant de le vouer à l’analphabétisme.
"Dans ce quartier de Lille-Sud dont les habitants se plaignent d’être abandonnés, et dans un collège où il est difficile d’accorder à chaque enfant l’attention qu’il mérite, une jeune élève s’est sentie pour la première fois exister sous le regard d’une enseignante qui ne ressemblait pas aux autres."
En utilisant le mot "exister", il échappe fallacieusement au tabou "pédophilie". Se sentir exister peut et doit être obtenu autrement que par la voie sexuelle pour un enfant...
En écoutant ces gens la et leurs compromis permanent, il vaudrait mieux confier un enfant à un pédophile civilisé qu’à un psychopathe sanguinaire.
Au "trolley problem" il faut répondre comme dirait l’autre : "Sans concession !"
Alors on peut effectivement essayer de comprendre une telle situation car chaque fait est la conséquence d’une cause. Mais il faut pour cela comprendre le sens de la vie et disposer d’une certaine sagesse. La plupart de journaliste pensent tout savoir mieux que tout le monde, et finissent par faire des commentaire type skyblog...