Déformez pas ce que je dis.
Ouais,je donne pas de priorité dans les especes et je le maintiens.Y’a pas à se mêler et les mêler à nos valeurs.
Quand ça nous regarde nous et seulement nous,c’est autre chose.
C’est nous même que ça regarde et c’est de l’autorégulation consciente (et légale),avec un mal contre un autre,regretable si douleur il y a ,j’en sais rien et auquel cas il faudait effectivement l’empêcher en l’anesthesiant,mais justifié.
Et en devenir,ça veut dire ce que ça veut dire.
Euh,non je n’appelle pas ça un privilège que de donner la vie,ni même une malédiction d’ailleurs,ça peut faire peur,ça leur fait mal,et on peut en mourir et c’est les premières concernées,c’est elles qui décident donc.
Quant-au divorce,j’entends bien ce que vous voulez dire,j’ai pas dit qu’il n’y avait pas de défaut,j’en parlais comme du fait que c’était quasiment interdit et passible d’une réputation de sorcière auparavant et que le fait de ne plus l’être était un progrès.Et,non,les enfants ne sont pas toujours malheureux si l’on fait le nécessaire après un divorce.(encore faut-il le faire)
Divorcer pour des prétextes futiles est minable,autant ne pas se marier donc,puisqu’en effet c’est toujours des arguments minables qui sont invoqués.
Je viens de voir qu’il y a marqué "droite des valeurs" en haut...Ca explique beaucoup de chose,je suis venu ici attiré par le titre...