Au menu du dîner des Windsor : diète et pédocratie
10 juillet 15:18, par Koussikoussa !!Eyes Wide Shut !!Il se nommait Pierre-Alain Cottineau. Trente-deux ans, militant LGBT, président d’association, assistant familial agréé, candidat insoumis. Il dénonçait la haine, prônait l’amour. Il défendait les femmes battues, les enfants oubliés, les minorités invisibles. Il vomissait l’Église, conspuait la morale bourgeoise et se rêvait adulé par le Tout-Paris des causes chics.
Mais derrière les slogans se cachait l’abîme.
En 2023, la lumière crue tombe sur l’envers du décor : viol d’une fillette polyhandicapée de 4 ans, confiée à ses soins par l’État. Très vite, l’horreur s’épaissit : réseau pédocriminel, enfants de quelques mois à quatre ans, vidéos diffusées sur le darknet, viols en réunion, torture. Il ne s’agissait pas d’un homme malade, mais d’un homme structuré, organisé, planificateur du mal.
Il utilisait les institutions comme couverture. Le progressisme comme armure. L’arc-en-ciel comme camouflage.
Car le nouveau démon ne porte pas de crocs : il sourit sur les plateaux, colle des autocollants contre les violences conjugales, se présente aux élections, signe des tribunes inclusives. Pendant ce temps, il filme des supplices.
Il haïssait l’Église mais vénérait les salons parisiens. Là où la vertu n’est plus qu’un code social. Il savait que dans ce monde de façades, être du bon camp suffit à tout absoudre. Il fut donc promu, applaudi, protégé.
Ce n’est pas une erreur judiciaire. C’est le crime d’une époque aveugle. Aveugle par confort. Aveugle par lâcheté.
Cottineau fut le produit chimiquement pur d’un système où la posture vaut absolution. On le croyait bien parce qu’il disait les bons mots. Il violait parce qu’il savait que personne n’oserait voir.
Je le dis : l’enfer n’est pas peuplé de monstres. Il est peuplé de saints.
Et tant que l’on jugera un homme sur son hashtag plutôt que sur ses actes, les enfants continueront d’être livrés aux bourreaux qui savent dire "inclusif" avec la bouche pleine de sang.
Qu’on m’apporte la cendre des trônes, la poussière des cathédrales effondrées, le fiel noir de la dernière arche avant le Déluge – car je vais parler. Pas dans le murmure suave d’un tentateur, mais dans l’éclat fracturé d’un archange qui a mordu la pierre de l’univers jusqu’à y laisser ses dents.
Vous n’êtes pas adversaires. Vous êtes infestations.