A l’évidence, les infaux jaillissent de partout et chacun de surfer sur la tendance, le parti pris et le fait divers transformé en événement pour exister dans une marmite qui boue gravement depuis un bon moment.
D’aucuns disent que "ça va péter", moi je ne le pense pas. La castration généralisée et le consentement systématique sont devenus les réflexes d’un peuple maintenu en état de sidération.
Un récent saut à Paris m’a permis de prendre la mesure de ce qui se trame. La capitale tourne avec 3 types de population :
1/ les bobos qui y vivent, qui ont pas mal de pognon et qui se réjouissent de voir "leur" ville devenir une "smart city",
2/ une foule touristique revenue en force et composée également de nomades mondialisés et heureux de visiter ce que la ville aux lumières artificielles leur offre à des tarifs dingues.
3/ l’armée de l’ombre composée majoritairement de migrants avec ou sans papier, de jeunes sans le sou et autres ubérisés de force qui assurent tous les services de ceux du dessus pour une poignée d’€.
Pataugeant au milieu de cette transformation inédite et dévastatrice (le Great Reset, on suppose ?) de notre pays, les partis politiques s’agitent comme s’ils sentaient tous que leurs prébendes et autres avantages indécents de Saigneurs du peuple leur échappaient.
Et de fait, ils les perdent, leur présence stérile ne pouvant plus passer inaperçue. Le RN aura beau être toujours le parti majoritaire du pays, tant que nous resterons dans les griffes d’une UE germanisée nous irons vers le gouffre.
Les guéguerres inter partis ressemblent davantage à des sous gangs mafieux qui se disputent les miettes de la gamelle publique. C’est à celui ou celle qui fera le plus de bruit médiatique, quitte à dégoiser n’importe quoi ou à passer pour un dingue intégral.
Pour ma part, je le redis ici : non, nous ne nous soulévrons plus jamais. Plus assez d’hommes viriles ni d’esprit patriote pour ça. Nous pourrissons par l’intérieur, lentement, inéxorablement et seuls ceux qui ont encore des baloches et des tripes (pour les femmes), survivront à cette indiscutable mise à mort de toute une civilisation.