Blackout espagnol : coup de poignard franco-marocain ?
6 mai 18:24, par Haute PatrieLà de suite comme ça je ne comprends pas l’ironie de savoir où est passée la puissance d’un système que vient de s’éteindre. Si tu coupes le courant, la puissance passe de autant de mégawatts que tu veux à 0. Chaque moyen de production ayant un système de régulation et éventuellement de délestage pour s’adapter : Réduction de la combustion quelle que soit l’énergie, refroidissement de la vapeur d’eau qui entraîne les turbines, réduction du débit d’eau pour les hydrauliques etc.
Lorsque la fréquence chute – comme ce fut le cas, semble-t-il, en Espagne –, la machine s’arrête d’elle-même
Par contre cette histoire de fréquence est primordiale. Elle doit être ultra précise, et comme dit dans l’article, si c’est bel et bien la France qui compense les variations de fréquence avec ses turbines, effectivement il y a des limites.
Pétrole, gaz, gazoducs, sanctions, guerre, idéologie climato-alarmiste soutenant l’idéologie carboniphobique justifiant les taxes carbones, explosion du prix des énergies avec ventes à l’étranger pour rachat de sa propre consommation avec une augmentation de 200% correspondant à un racket pur et simple des marchés (donc des parasites financiers qui continueront à nous voler et nous massacrer tant que nous ne les massacrerons pas nous mêmes), bref, cette panne s’inscrit très probablement dans la démarche actuelle de spoliation mondiale de la populace par l’énergie.
Et pour faire péter un réseau, la fréquence est un paramètre bien plus simple à trafiquer et bien plus compliqué à compenser que la puissance qui ne nécessite que des coupures en cas de surproduction et de surdemande, et utiliser le maillage mis en place pour équilibrage.
Il y a autant de chances que ce ne soit pas volontaire que lors de la catastrophe de Tchernobyl...
À part que là ce ne sont pas les américains mais probablement la France, mais comme les 2 sont des tapins de l’Angleterre, à la fin c’est le même décisionnaire.
Sanction pour plomber l’économie ? Représailles politiques ? Menace pour négociations économiques ?
Arrêt de la correction de la fréquence ? Altération volontaire de la fréquence par injection ?
Action sur la régulation de la fréquence par les systèmes informatisés donc attaque informatique ?
Cette histoire n’est probablement pas finie ...