Je trouve au contraire qu’Ardisson utilise une ruse de dissident au temps de la censure soviétique. Il abonde dans le sens de la glucksmann en surface mais nous refile une petite info : ce qu’a dit Dieudonné à l’époque et le motif de son mécontentement : deux poids deux mesures.
Les gens ne peuvent qu’être d’accord avec Dieudo (celui de l’époque, hein) puisque c’est ce qu’ils ressentent à leur niveau.
La gloukse s’en rend bien compte.
Ensuite Ardisson poursuit sur AS, prenant des airs dédaigneux, mais comme AS est un ami de Dieudo et que Dieudo a fait une remarque de pur bon sens, c’est bon pour AS, en fait.
Faut être renard chez les aspics, couleuvres, vipères, boas et serpents à sonnettes. Ou chez les corbeaux qui tiennent un fromage, si on on en pince pour son manoir, ses pipolettes et ses dîners fins.
Ardisson a raison, au début de son intervew, sur Marie-Antoinette et aussi les églises. Joli !