Il y a quelque chose de profondément français dans l’intelligence courtoise et la bienveillante ténacité de Louis Fouché, à l’entendre on comprend comment ce pays a inventé la langue de la diplomatie.
Sera-ce-suffisant ?
Tous les dirigeants qui, dans l’entre-soi élitiste et fraternel des think tanks où ils sont nés, s’entendent tous sur la nécessité de réduire le troupeau du bétail humain, savent la réalité, sur l’origine militaire et criminelle de la campagne organisée d’injection obligatoire du bétail humain mondial, et sur sa finalité inavouable (Nous sommes en guerre contre les peuples) sur le champ de bataille mondialiste, ne peuvent laisser la vérité semer la panique au sein du troupeau, au risque de le voir devenir incontrôlable en réalisant que la démocratie n’existe pas.
Les compagnies pharmaceutiques organisatrices (Big Pharma) ont agi sous l’égide du complexe militaro-industriel américain, et elles ont anticipé les conséquences puisque les traitements pour les effets secondaires "imprévisibles" étaient prêts avant l’accélérateur d’achat que constituaient les injections Covid.
En Europe la stratégie choisie c’est la diversion, et l’occultation des effets délétères.
En Amérique, où Big Pharma a calculé depuis longtemps (bien avant le Covid) qu’une amélioration significative de l’état de santé des Ricains lui couterait 500 milliards de dollars en économies pour le système de santé, la stratégie choisie c’est de créer des marchés pour chaque type d’effets secondaires, et c’est la raison pour laquelle le VAERS a été autorisé à faire un suivi plus exhaustif des déclarations de symptômes (suivi des potentiels créations de produits).
Quand Louis Fouché parle de tests, il est loin de la froide réalité sachant qu’à terme l’objectif est de conditionner les clients/injectés à accepter les systèmes de suivi en temps réel des indicateurs de santé, injectables, communicants et connectés, qui sont déjà prêts à être commercialisés.