Excellente rétrospective historique de Youssef Hindi, à laquelle on peut inclure un état des lieux de la situation en ce funeste mois de mai 2025 : le gouvernement sioniste d’Israël a recours à l’arme de la faim contre les populations civiles.
Depuis le 2 mars 2025, Netanyahou interdit le passage des camions d’aide alimentaire et médicale vers Gaza. Conséquence : les adultes sont émaciés et des images moralement perturbantes d’enfants palestiniens squelettiques nous parviennent, veillés par leurs mères qui les regardent s’éteindre, avec la complicité de l’Occident, dont la priorité se résume à la traque des consciences d’élite qui dénoncent cette torture par l’arme de la famine et de l’assoiffement.
Le 2 mai 2025, les sionistes ont fait exploser, par drones, le chargement d’un navire d’aide humanitaire au large de Malte : il s’agissait d’empêcher que ce dernier ne ravitaille les Palestiniens affamés.
Le monde est offusqué par le caractère sadique de la préméditation génocidaire d’Israël : les enfants de Palestine occupée ressemblent, pour certains, aux Ethiopiens rachitiques de l’année 1989. Critiquer l’inhumanité de ces gens-là est non seulement un devoir de Français, mais un impératif catégorique de la conscience.
Rappel : Conformément à la Convention sur le génocide de 1948, au droit international coutumier, ainsi qu’aux articles 23, 55 et 56 de la Quatrième Convention de Genève, les États ont l’obligation juridique contraignante d’intervenir lorsque l’aide humanitaire est entravée de manière à perpétrer un populicide. Or, un clergé politique sectaire et malveillant travaille, non pas à la levée du blocus alimentaire imposé par les sionistes radicalisés, mais à imposer un blocus sur la liberté d’expression en France. J’ai honte d’appartenir à ce siècle.
Depuis la France éternelle, une prière pour la Palestine éternelle