Dès le début, wikileaks était quelque chose de louche, fondé par des "dissidents chinois" avec des "représentants de communautés tibétaines et russes expatriées", des journalistes et des "analystes du renseignement américain", s’intéressant spécialement aux régimes oppresseurs de l’ancien bloc soviétique, du Moyen-orient, d’Afrique sudsahariene et d’Asie. C’est une description typique des activités de la CIA. Rappelons que l’ennemi numéro un qui revient le plus souvent dans le PNAC néocon n’est pas l’Irak, l’Iran ou la Russie mais la Chine.
Qu’il soit question de pizzagate (juste avant l’élection de 2016) ou Qanon (en 2017 au plus bas de la popularité du POTUS Trump) ou de manipulations grâce aux infos volées par wikileaks, on retrouve toujours ce satané dirty trickster droitard Roger Stone. En 2016, il fut le relais entre wikileaks et la campagne de Trump, et entre cette dernière et l’opération de désinfo Infowars. Selon le FBI et ses documents caviardés, Stone, en complicité avec le conspirationniste sioniste proche du MOSSAD Jerome Corsi, fut au centre d’une opération de manipulation de l’élection de 2016, utilisant des infos de wikileaks obtenues par le renseignement israélien (probablement l’unité 8200, similaire à la NSA américaine) et relayées par un haut placé du gouvernement israélien, tout cela afin d’éviter la défaite inévitable de Trump. C’est confirmé par le journaliste d’investigation et expert de l’espionnage israélien, James Bamford.