Comme le disait Mao : " il y a l’ennemi principal et l’ennemi secondaire". On ne négocie pas avec ces ennemis principaux là, on capitule. D’où l’impérieuse nécessité de combattre ensemble, unis comme les doigts d’une main fermée au sein d’un front de la résistance nationale, française d’abord et anti-mondialiste radicale.
Le combat semble perdu d’avance tant la puissance galactique de la technostructure mondialiste broie tout sur son passage. Les transformations les plus radicales sont mises en œuvre avec une intensité jamais égalée, sans la moindre considération pour le coût humain. Enfin, le Mondialisme triomphant manifeste, comme rarement dans l’histoire de l’humanité, le mépris le plus total pour l’être humain ainsi qu’en témoignent les purges révolutionnaires des "Lumières" de 1789 , des Bolcheviks de 1917, de Lénine, de Staline, de la Chine communiste, du Cambodge de Pol-Pot avec des slogans comme " Notre cœur ne nourrit ni sentiments, ni esprit de tolérance" ou encore "Qui proteste est un ennemi, qui s’oppose est un cadavre ".
“Si vous désirez être les esclaves des banques, et payer pour financer votre propre esclavage, alors laissez les banques créer l’argent.”
Josiah Stamp (1880-1941), Gouverneur de la Banque d’Angleterre, 1920.
1920 ! Et nous en sommes en 2011 à nous étriper, à tenir des propos de comptoir bref, à nous battre avec un bandeau sur les yeux ! Nous devons absolument comprendre ou disparaitre ! Autrement, ce groupe de personnalités extraordinaires du monde secret des grandes villes d’Europe et d’Amérique qui ont saisi les peuples par les cheveux, sont en passe de devenir les maîtres incontestables du monde.