Quand un économiste aborde le sujet de la Russie, on aimerait l’entendre aborder les sujets suivants :

les méthodes de contournement des sanctions occidentales en matière d’imporations parallèles ;
les méthodes pour accéder aux moyens de financement en devises fortes, telles que le dollar US, la livre, l’euro, le yen, qui sont indispensables aux importations qui alimentent le complexe militaro-industriel russe ;
les perspectives ouvertes par la détention de réserves énormes en yuans dans le financement des secteurs public et privé, notamment par le biais de passerelles de financement via des filiales de banques chinoises permettant de convertir le yuan externe en dollars US ;
les programmes de développement de secteurs stratégiques dans la perspective de l’indépendance nationale ;
les moyens de financement internes et externes de la banque centrale russe pour soutenir le développement de l’économie russe, notamment du point de vue de l’infastrcture financière ;
l’impact du plafonnement du prix du pétrole russe sur les rentrées financières du Trésor russe ;
l’impact de l’effondrement de l’économie chinoise sur son voisin russe, notamment dans le domaine énergétique ;

Etc