On sent que Delamarche se retient de moins en moins, dans ses déclarations, et dans ses vidéos avec Sylvain Tiger, s’est encore plus évident. Le fait que RT se soit fait bouté hors de France y est peut-être pour quelque chose...

Répondre à ce message

Ce que Delamarche ne dira jamais : Un Glass-Steagall pour castrer la finance !

Répondre à ce message

Ce n’est pas un « suicide » sinon ils ne souriraient pas tous devant les caméras - quand on en vient au suicide c’est qu’on va pas très bien.

 C’est un sacrifice organisé par ces bureaucrates qui prouvent qu’ils sont bien des nomades (sans attaches, sans racines) parasites (occupant illégitimement les postes-clés contre les peuples) !

*Pour l’histoire, on peut tracer une ligne droite idéologique de la tête coupée de Louis XVI lors de la Révolution dite française de 1789 jusqu’à Von der Leyen la déracinée de 2023 car le bourreau du Roi lui-même s’appelait : Santerre  ! (Glaçant comme dirait Salamé !)

Nous avons donc affaire à une caste déterminée qui ira sans problème le sourire aux lèvres jusqu’à la guerre, comme elle le démontre depuis 3 siècles, Delamarche a raison.

Répondre à ce message

Pourquoi une heure d’interview ? Avec Olivier Delamarche, on est toujours dans l’attente d’une info, d’une analyse et on a des heures de bilan, de constats.

Répondre à ce message

Il faut que Olivier Delamarche arrête de dire que Bruno Lemaire ne sait pas ce qu’il fait. Chez Macron and Co ils savent tous très bien pour qui ils travaillent et ce qu’ils font. Font juste semblent d’être cons.

Répondre à ce message

Un conte à la Française, la tendance à donner la priorité à la consommation - plutôt qu’à la construction de l’économie réelle - conduit inévitablement à une baisse de l’économie réelle : à mesure que la consommation, et un secteur financier et de services éphémère, aspirent "l’oxygène" des nouveaux investissements hors de la production réelle (encore nécessaire pour payer les importations), l’économie réelle se flétrit.
Une dette toujours croissante devient nécessaire pour soutenir un groupe toujours plus petit de travailleurs productifs.
le même "piège" qui saisit la France (et une grande partie de l’Europe). L’inflation augmente, l’économie réelle se contracte et l’emploi bien rémunéré se contracte – tandis que le tissu de soutien a été vidé (pour des raisons idéologiques).
La situation est sombre. L’augmentation de l’immigration vers l’Europe exacerbe le problème.
Tout le monde s’en rend compte, sauf la Nomenklatura européenne qui reste dans le déni idéologique de la « société ouverte ».
Résoudre les contradictions structurelles de ce modèle de Chicago dépasse les capacités politiques occidentales actuelles.
La gauche n’a pas de solutions et la droite ne peut pas exprimer d’opinion –(échec et mat).
Ça va chier grave !

Répondre à ce message

Quand un économiste aborde le sujet de la Russie, on aimerait l’entendre aborder les sujets suivants :

les méthodes de contournement des sanctions occidentales en matière d’imporations parallèles ;
les méthodes pour accéder aux moyens de financement en devises fortes, telles que le dollar US, la livre, l’euro, le yen, qui sont indispensables aux importations qui alimentent le complexe militaro-industriel russe ;
les perspectives ouvertes par la détention de réserves énormes en yuans dans le financement des secteurs public et privé, notamment par le biais de passerelles de financement via des filiales de banques chinoises permettant de convertir le yuan externe en dollars US ;
les programmes de développement de secteurs stratégiques dans la perspective de l’indépendance nationale ;
les moyens de financement internes et externes de la banque centrale russe pour soutenir le développement de l’économie russe, notamment du point de vue de l’infastrcture financière ;
l’impact du plafonnement du prix du pétrole russe sur les rentrées financières du Trésor russe ;
l’impact de l’effondrement de l’économie chinoise sur son voisin russe, notamment dans le domaine énergétique ;

Etc

Répondre à ce message

On ne peut pas avoir une guerre de classe contre le travail et la réindustrialisation. C’est l’énigme.
Ainsi, lorsqu’on dit nous voulons réindustrialiser, il n’y a aucun moyen que ces politiques puissent permettre qu’une véritable réindustrialisation se produise.
Et c’est pourquoi l’économie est bloquée.
C’est pourquoi l’occident est endetté, parce qu’il ne peut pas rivaliser avec d’autres pays dans le monde d’aujourd’hui avec cette philosophie, anti-ouvrière et néolibérale.
Contrairement à nous autres, la Chine a montré que les gouvernements n’ont pas à emprunter de l’argent aux riches pour payer des intérêts.
Les économistes de pacotille disent, eh bien, si vous imprimez l’argent, c’est inflationniste, mais ce n’est pas plus inflationniste que le crédit bancaire.
On prétend donc que le gouvernement doit emprunter auprès des détenteurs d’obligations.
Parce que les détenteurs d’obligations décident de ce qui est économiquement valable, mais le fait que les détenteurs d’obligations soient les 1 %, et que ce qu’ils trouvent économiquement valable, c’est de ne pas utiliser le gouvernement pour améliorer le niveau de vie, créer l’activité et de la main-d’œuvre.
Pour quelles raisons les gouvernements ont-ils besoin des détenteurs d’obligations pour créer cet argent ? Ou, pourquoi ont-ils besoin que les banques accèdent soudainement à leur ordinateur et créent un milliard, à prêter au gouvernement, que le gouvernement redéposera ensuite dans ces mêmes banques ?
Et pomper ce qu’il reste encore debout comme production.
Dans le monde occidental le rôle des gouvernements est de fournir plus d’argent vers les 1% et subsidiairement pour le restant.

Répondre à ce message

Tiens, il est encore en France !

Répondre à ce message