Un conte à la Française, la tendance à donner la priorité à la consommation - plutôt qu’à la construction de l’économie réelle - conduit inévitablement à une baisse de l’économie réelle : à mesure que la consommation, et un secteur financier et de services éphémère, aspirent "l’oxygène" des nouveaux investissements hors de la production réelle (encore nécessaire pour payer les importations), l’économie réelle se flétrit.
Une dette toujours croissante devient nécessaire pour soutenir un groupe toujours plus petit de travailleurs productifs.
le même "piège" qui saisit la France (et une grande partie de l’Europe). L’inflation augmente, l’économie réelle se contracte et l’emploi bien rémunéré se contracte – tandis que le tissu de soutien a été vidé (pour des raisons idéologiques).
La situation est sombre. L’augmentation de l’immigration vers l’Europe exacerbe le problème.
Tout le monde s’en rend compte, sauf la Nomenklatura européenne qui reste dans le déni idéologique de la « société ouverte ».
Résoudre les contradictions structurelles de ce modèle de Chicago dépasse les capacités politiques occidentales actuelles.
La gauche n’a pas de solutions et la droite ne peut pas exprimer d’opinion –(échec et mat).
Ça va chier grave !