Laisse aller, c’est une valse
27 mai 2011 01:01, par lacomédiehumaine
On devient empereur en ne cédant pas au désespoir absolu.
Pourquoi Michel veut-il abandonner ce qui s’avère nécessaire et ce qu’il prend en plus plaisir à faire : "parler politique" ? je comprend pas. Si nous consentons à nous taire qui parlera ? Si nous consentons au silence nous perdons l’occasion d’incarner la parole magique, la parole sacrée ?
Abandonner l’oasis pour le désert immense ?