Youssef Hindi décrypte le piège du national-sionisme pour les nations européennes
13 août 2018 13:55, par Claude
Ni keffieh, ni kippa et c’est marre. Il ne faut pas sous-estimer l’intelligence tactique des Européens de souche ethno-nationalistes au pouvoir, par exemple en Italie ou Hongrie. Ils ne sont pas idiots, et savent que les sionistes qui ne font que se repositionner en nationalistes pour l’instant. Orbán et Salvini se disent tous deux « amis d’Israël » il faut être aveugle ou bouché à l’émerie pour y croire. Ils partent de loin et la jouent du mieux qu’ils peuvent compte tenu des circonstances. En privé, (surtout Salvini) ils ne tiennent pas du tout ce discours et ils engagent des politiques qui vont dans le bon sens pour leurs peuples. Les peuples Européens de souche se réveillent partout en Europe et ce réveil est ethno-nationaliste, et pas autrement, on peut être pour ou contre mais c’est objectivement ainsi. Une supposée réconciliation avec les allogènes n’est pas au menu, personne parmi les partis « nationalistes » au pouvoir en Europe ne l’évoque, de fait cette position est ultra minoritaire et n’a aucun avenir... « combien de divisions » ? Elle ne correspond pas aux désir de vivre « entre soi » des peuples. La vague populiste qui traverse toute l’Europe est basé quasi uniquement sur la
problématique ethnique, c’est elle qui à fait gagner les populiste beaucoup plus que les problèmes économiques. L’idéal de réconciliation est honorable mais les faits sont têtus, et les peuples n’en veulent pas.