Ne pas oublier... en France comme dans tous les résidus de nations d’Europe de l’Ouest, les réseaux mondialistes œuvrent efficacement lors des campagnes et des options de candidats pour qu’il n’y ait plus que des "managers" ou des gestionnaires" de PME à la tête des pays.
Il s’agit d’habituer les jeunes générations, encore ignorantes et persuadées d’avoir un choix par le vote, à avoir des petits bureaucrates communicants comme président. Un manager ça ne pense pas, ça n’a aucune vision, ça compte et ça exécute les ordres "d’en haut".
Le haut en l’occurrence, je le réécris ici, sont contenus dans le GOPE (Guide des Orientations des Politiques Européennes) ou Programme des Réformes 2015 mis sur le bureau de tous les managers cooptés à la fonction de gestionnaire. En pages 161 à 163 : la liste des réformes imposées par la commission bruxelloise à la France.
Et comme tous les managers, le petit Macron parle le globish et se la pète en public pour faire jeune et mondial... c’est d’autant plus calamiteux qu’il a un accent épouvantable. Au moins, la Christine Lagarde fait illusion du côté maîtrise de la langue globish !
Brigitte Macron, sa daronne, était prof de théâtre. On sait ô combien le souci de la langue est central dans cette branche, mais Brigitte est avant tout une maman qui protège son poussin. Elle l’entraîne à parler en public en maniant l’humour, l’articulation et surtout, la sincérité ambigüe des comédiens orateurs !